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A 79 ans, la légende du folk, dont certaines chansons comme “Hurricane” (1976) ont dénoncé les violences policières contre la minorité noire, s’apprête à sortir vendredi prochain son premier album de chansons originales en huit ans, “Rough and Rowdy Days”.
Fin mars, alors que la pandémie commençait à frapper de plein fouet les Etats-Unis, Bod Dylan avait sorti sa première chanson en huit ans, “Murder Most Foul”, une ballade de 17 minutes consacrée à l’assassinat du président John F. Kennedy.
Dans l’interview parue vendredi, réalisée par téléphone depuis sa maison de Malibu, en Californie, il se montre pessimiste sur l’avenir du monde et les conséquences de la pandémie de coronavirus. “Une arrogance extrême peut mener à des sanctions désastreuses. Peut-être sommes-nous à la veille de l’anéantissement”, dit-il, en balayant néanmoins toute notion d’avertissement “biblique”. Il indique ne pas penser à sa propre mort. “Je pense à la mort de la race humaine”, dit-il. “Le long et étrange périple du singe nu (...) Tout être humain, aussi fort et puissant soit-il, est fragile face à la mort. J’y pense en termes généraux, pas personnels”.
Avant la pandémie, Bob Dylan se produisait régulièrement en concert. Il avait notamment prévu une série de concerts en avril au Japon et en juin aux Etats-Unis, tous annulés.