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Mais c’est entre 1856 à 1956, relève l’auteur, que se noue “une histoire économique, politique et diplomatique dont la dette est le fil rouge, actrice discrète mais non moins essentielle des bouleversements à l’origine du Maroc moderne”. Le livre d’Adam Barbe, révèle Thomas Piketty, dans une préface intitulée “La colonisation par la dette”, décortique avec “précision et justesse” la mécanique des “traités inégaux” qui permit aux puissances coloniales “de prendre le contrôle de nombreux pays et actifs étrangers”, montrant à travers le cas du Maroc “le fonctionnement de cette logique”.
Publié avec le concours du ministère de la Culture, cet ouvrage s’étend sur cinq chapitres s’intéressant, entre autres, à la question de l’impérialisme économique et le Maroc au XIXème siècle, au Maroc face à l’Europe de la période allant de 1856 à 1900, à la dette au protectorat de 1900 à 1912, aux institutions régaliennes nées de l’endettement marocain, à l’endettement du Maroc colonial et la Banque de Paris et des Pays-Bas au Maroc.








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