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Il a également noté que le Royaume dispose de données géographiques particulières par rapport aux autres pays arabes, d'une grande expérience en matière agricole et d'un programme d'investissement dans ce secteur, prévu dans le Plan Maroc Vert, soulignant la nécessité de renforcer la vulgarisation agricole en tant que vecteur de transfert des technologies des centres de recherche vers l'agriculteur.
M. Hamou estime, à ce propos, que le programme de vulgarisation agricole nécessite un suivi et une évaluation continus en vue de lui permettre de jouer le rôle de vecteur de transfert des connaissances, d'expertise et de technologies au profit des agriculteurs.
"Le Maroc ne souffre pas d'une pénurie d'eau de la même intensité que certains pays arabes et dispose de grandes zones agricoles en comparaison avec de nombreux pays", a-t-il poursuivi, relevant que le Royaume a une vision qui définit le rôle de l'agriculture dans l'économie nationale et le développement économique et social à même de contribuer à alléger le manque de certaines denrées comme les céréales. L'expert marocain a, en outre, évoqué quelques défis auxquels le Royaume fait face en matière de sécurité alimentaire comme la question des subventions des produits de base, qui pèsent sur le budget du pays, et l'amélioration de la productivité, en plus de sa dépendance du marché international des céréales caractérisé par l'instabilité.