-
Participation marocaine au Sommet d'investissement SelectUSA : Un reflet de la vitalité du partenariat économique entre Rabat et Washington
-
Le déficit budgétaire s’accentue à fin avril 2025
-
Lancement à Rabat de la semaine de promotion économique de la République Centrafricaine au Maroc
-
Miklós Tromler : Les entreprises hongroises manifestent un intérêt grandissant pour investir à Dakhla-Oued Eddahab
-
Productivité agricole : L’INRA et Syngenta présentent les résultats des essais menés dans le cadre de leur partenariat 2021-2024

Cette évolution est en rapport avec la croissance toujours prononcée de la production privée, ayant enregistré une amélioration de 23,3%, soit une contribution de 56,4% à l'énergie nette appelée après une part de 46,6% un an auparavant, explique la DEPF dans sa note de conjoncture pour le mois de juin 2015.
Toutefois, cette bonne tenue de la production privée a été atténuée par le retrait de la production totale nette de l'ONEE de 16,3%, précise la note de conjoncture.
Parallèlement à cette évolution, le volume des importations de l'énergie électrique a baissé de 17,7% à fin avril 2015, contre une légère amélioration du volume des exportations (+0,6%), donnant lieu à une baisse du solde des échanges d'énergie électrique avec l'Espagne et l'Algérie (Importations-Exportations) de 18,3%, après une augmentation de 10,7% à fin avril 2014, souligne la DEPF.
Durant la même période, la consommation de l'énergie électrique poursuit son évolution positive (+1,2%), marquant, toutefois, une décélération par rapport à la même période de 2014 (+3,6%).
Ce recul découle d'un ralentissement de la consommation autant des ménages, des régies que des autres clients, soit une augmentation de 4,1% et de 2%, après +7,7% et +4,5% une année auparavant pour les ménages et les régies, respectivement, et un recul de 1,6% pour les autres clients, après une hausse de 0,1% à fin avril 2014.
Par ailleurs, l'activité de raffinage a poursuivi, à fin mars 2015, sa tendance baissière enregistrée lors des deux derniers trimestres de l'année 2014, accusant un repli du volume des entrées à la raffinerie de 45%, en glissement annuel, à plus de 1 million de tonnes, après le bon comportement au premier trimestre de l'année 2014 (+31,1%).