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Lors d'un panel organisé dans le cadre du Forum mondial des services financiers «City Week 2015», qui s’est tenu dans la capitale britannique du 24 au 26 mars, Ibrahimi a mis l'accent sur la régulation aux normes internationales de la CFC et son positionnement en tant que « plateforme de référence capable de drainer des capitaux étrangers vers l'Afrique et contribuer à son développement», selon MAP.
Le Maroc offre aux investisseurs, en quête de croissance, une connectivité aérienne vers les pays d'Afrique de l'Ouest et Centrale, un positionnement stratégique, une stabilité politique et macroéconomique, des affinités culturelles avec les pays du continent et une présence dans divers domaines, notamment financier et des télécommunications, a ajouté Ibrahimi.
Il a, en outre, mis en avant les avantages offerts par la CFC aux institutions internationales souhaitant investir, opérer en Afrique et/ou cherchant un point d'entrée unique vers le continent.
«Le Maroc jouit du respect de la communauté internationale et de la confiance des investisseurs étrangers», a dit Ibrahimi, affirmant que la «Casablanca Finance City» est «la meilleure plateforme financière dans la région. Elle dispose de tous les atouts compétitifs pour accueillir les investisseurs internationaux désirant opérer en Afrique».
L'offre de la CFC est confortée par les performances de l'économie du Maroc ayant «une dette publique contrôlée, une inflation maitrisée, des infrastructures modernes et un secteur financier dynamique présent dans plus de 30 pays africains», a souligné Ibrahimi.
Pour sa part, Karim Hajji, directeur général de la Bourse de Casablanca, a mis l'accent sur l'engouement fort que connaît la CFC de la part des investisseurs étrangers, affirmant que «Casablanca Finance City» s'impose actuellement comme un hub financier régional au service du continent africain.
«Le Maroc est déjà un investisseur important en Afrique subsaharienne dans le secteur bancaire et financier ainsi que dans les télécoms, l'immobilier, les mines», a-t-il précisé.
Ainsi, «investir au Maroc, à la CFC ou à la Place casablancaise (où sont cotées plusieurs sociétés présentes en Afrique) signifie investir dans le développement du continent africain qui offre d'importantes opportunités d'affaires dans presque tous les domaines», a souligné Hajji.