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Le long-métrage marocain "Kilikis, la cité des hiboux" du réalisateur Az Alarabe Alaoui a décroché le Prix "Découverte" au Festival Cinéalma - L'âme de la Méditerranée en France. Le jury du festival qui s'est tenu du 12 au 21 octobre dans la ville de Carros a décerné le Prix “Découverte” au film marocain, alors que le Grand prix a été remporté par la cinéaste tunisienne, Salma Bekkar pour son film "El Jaida". "Kilikis, la cité des hiboux" a été, également, sélectionné pour participer à la compétition officielle du Festival du film indépendant de Rome qui aura lieu du 16 au 23 novembre, selon la liste dévoilée sur le site électronique du festival.
Le film d’Az Alarabe Alaoui s'est adjugé récemment le Prix "Al Qods" pour la meilleure réalisation artistique au Festival d'Alexandrie dans le cadre de la compétition officielle des longs métrages internationaux, outre le Prix de la meilleure réalisation dans la 11ème édition du Festival international du film arabe d'Oran.
"La cité des hiboux" relate l'histoire d'un groupement d'habitations réunissant familles et gardiens d'un centre de détention secret. Niché entre les montagnes du Haut Atlas, l'existence de ce lieu est restée longtemps ignorée, jusqu'au début des années 1990. Les gardiens, qui y habitent, consument leur temps à assurer, à tour de rôle, la surveillance des lieux, en longeant chaque jour un pont suspendu sur un ravin profond et reliant le douar à la prison de la citadelle.
Les personnages, dont les chemins et les destins se sont séparés, n'ont que le lieu en commun. Le destin leur a tout de même appris qu’en réalité "la cité des hiboux" n’est qu'une grande prison où tout le monde y est incarcéré, gardiens et détenus.
Ce film a été interprété par une pléiade d'artistes marocains, dont Mohamed Rzine, Hassan Badida, Amine Ennaji, Kamal Elkademi, Asmae Saouri, Fatima Harrandi (Rawya), Jamal Laababssi, Mohamed Bousbaa, Naima El Machrqui et Abdou Mesnaoui.
Le film d’Az Alarabe Alaoui s'est adjugé récemment le Prix "Al Qods" pour la meilleure réalisation artistique au Festival d'Alexandrie dans le cadre de la compétition officielle des longs métrages internationaux, outre le Prix de la meilleure réalisation dans la 11ème édition du Festival international du film arabe d'Oran.
"La cité des hiboux" relate l'histoire d'un groupement d'habitations réunissant familles et gardiens d'un centre de détention secret. Niché entre les montagnes du Haut Atlas, l'existence de ce lieu est restée longtemps ignorée, jusqu'au début des années 1990. Les gardiens, qui y habitent, consument leur temps à assurer, à tour de rôle, la surveillance des lieux, en longeant chaque jour un pont suspendu sur un ravin profond et reliant le douar à la prison de la citadelle.
Les personnages, dont les chemins et les destins se sont séparés, n'ont que le lieu en commun. Le destin leur a tout de même appris qu’en réalité "la cité des hiboux" n’est qu'une grande prison où tout le monde y est incarcéré, gardiens et détenus.
Ce film a été interprété par une pléiade d'artistes marocains, dont Mohamed Rzine, Hassan Badida, Amine Ennaji, Kamal Elkademi, Asmae Saouri, Fatima Harrandi (Rawya), Jamal Laababssi, Mohamed Bousbaa, Naima El Machrqui et Abdou Mesnaoui.