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L’Institut du monde arabe (IMA) à Paris organise jusqu’au 2 novembre prochain, une exposition sur les «Trésors sauvés de Gaza».
Montée en collaboration avec l’Autorité nationale palestinienne, l’association l’œuvre d’orient, le Musée d’art et d’histoire de Genève, avec le soutien de la Fondation Aliph, l’exposition rassemble 130 chefs-d’œuvre archéologiques témoignant à la fois de la richesse et de la fragilité du patrimoine de Gaza.
Figure parmi ces vestiges, une mosaïque byzantine qui illustre l’importance de Gaza comme carrefour stratégique depuis l’Antiquité. L’exposition dévoile également des pièces rares issues des fouilles franco-palestiniennes débutées en 1995, ainsi que des artefacts provenant de la collection privée du collectionneur gazaoui Jawdat Khoudary, présentée pour la première fois en France.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l’IMA, Jack Lang a expliqué que cette exposition vise à montrer aux visiteurs que «Gaza n’a pas toujours été un champ de ruines ou une prison à ciel ouvert. C’est une ville riche d’histoire et de culture qui abritait jadis des populations et des civilisations. C’est une histoire extraordinairement riche racontée à travers des pièces d’archéologie».
L’exposition a également un sens contemporain et porte en elle un message de paix et de rejet des tentatives qui visent l’effacement de son identité, a-t-il ajouté.
La commissaire de l’exposition, Elodie Bouffard, a, de son côté, affirmé que cette manifestation offre une immersion dans l’histoire plurimillénaire de Gaza, donnant à voir des joyaux archéologiques d’une rare beauté, à travers une collection exceptionnelle constituée de pièces de grande valeur, sauvées du désastre et qui témoignent du passé prestigieux de l’enclave palestinienne, reflet d’une histoire ininterrompue depuis l’âge de bronze.
L'exposition renseigne aussi sur la vie civile, sociale, religieuse et économique de la ville, a-t-elle expliqué, notant que «chacune des pièces exposées monte un puzzle qui raconte des expériences humaines, l’exemplarité de la création artistique et culturelle et ce magnifique monde partagé qu’a été Gaza pendant des millénaires».
Elle couvre 5000 ans d'histoire gazaouie jusqu'au XIXe siècle. Parmi les œuvres exposées figurent un sol en mosaïque, vestige d’une église byzantine, des amphores, des lampes à huile romaines, des statuettes, des ustensiles et des ornements en pierre.
Montée en collaboration avec l’Autorité nationale palestinienne, l’association l’œuvre d’orient, le Musée d’art et d’histoire de Genève, avec le soutien de la Fondation Aliph, l’exposition rassemble 130 chefs-d’œuvre archéologiques témoignant à la fois de la richesse et de la fragilité du patrimoine de Gaza.
Figure parmi ces vestiges, une mosaïque byzantine qui illustre l’importance de Gaza comme carrefour stratégique depuis l’Antiquité. L’exposition dévoile également des pièces rares issues des fouilles franco-palestiniennes débutées en 1995, ainsi que des artefacts provenant de la collection privée du collectionneur gazaoui Jawdat Khoudary, présentée pour la première fois en France.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l’IMA, Jack Lang a expliqué que cette exposition vise à montrer aux visiteurs que «Gaza n’a pas toujours été un champ de ruines ou une prison à ciel ouvert. C’est une ville riche d’histoire et de culture qui abritait jadis des populations et des civilisations. C’est une histoire extraordinairement riche racontée à travers des pièces d’archéologie».
L’exposition a également un sens contemporain et porte en elle un message de paix et de rejet des tentatives qui visent l’effacement de son identité, a-t-il ajouté.
La commissaire de l’exposition, Elodie Bouffard, a, de son côté, affirmé que cette manifestation offre une immersion dans l’histoire plurimillénaire de Gaza, donnant à voir des joyaux archéologiques d’une rare beauté, à travers une collection exceptionnelle constituée de pièces de grande valeur, sauvées du désastre et qui témoignent du passé prestigieux de l’enclave palestinienne, reflet d’une histoire ininterrompue depuis l’âge de bronze.
L'exposition renseigne aussi sur la vie civile, sociale, religieuse et économique de la ville, a-t-elle expliqué, notant que «chacune des pièces exposées monte un puzzle qui raconte des expériences humaines, l’exemplarité de la création artistique et culturelle et ce magnifique monde partagé qu’a été Gaza pendant des millénaires».
Elle couvre 5000 ans d'histoire gazaouie jusqu'au XIXe siècle. Parmi les œuvres exposées figurent un sol en mosaïque, vestige d’une église byzantine, des amphores, des lampes à huile romaines, des statuettes, des ustensiles et des ornements en pierre.