
Le long-métrage "Moon" (2024) de la réalisatrice autrichienne Kurdwin Ayub, a remporté le Grand Prix de la 18e édition du Festival international du film de femmes de Salé (FIFFS), clôturée samedi soir.
Le prix spécial du jury a été attribué au film "Manas" de Marianna Brennand (Brésil-Portugal, 2024), tandis que le prix de la première œuvre a été décerné à "L’année de la veuve" de Veronika Lišková (République tchèque-Slovaquie-Croatie, 2024).
L’actrice norvégienne Helga Guren a reçu le prix de la meilleure interprétation féminine pour son rôle dans "Loveable" de Lilja Ingolfsdottir (Norvège, 2024), alors que le prix de la meilleure interprétation masculine a été attribué ex æquo aux acteurs Housam Mohamed, Kader Benchoudar, Mortadha Hasni, Achraf Jamai et Nawed Selassie Said pour le film "Les filles désir" de Prïncia Car (France, 2025).
Par ailleurs, le prix parité l'Autre Rive a été accordé au film marocain "404.01" du producteur Mohamed Eddarhor.
En ce qui concerne la compétition officielle des films documentaires, le grand prix a été décerné à "Petit Rempart" d'Ève Duchemin (Belgique, 2025), avec une mention spéciale pour "Mother City" de Miki Redelinghuys et Pearlie Joubert (Afrique du Sud, 2024).
De même, le prix jeune public du court-métrage a été attribué à "Frères de Lait" de Kenza Tazi, alors que le prix jeune public du long-métrage a été alloué à "404.01" de Younes Reggab, avec une mention spéciale pour le long métrage marocain "Empreinte du vent" de Layla Triqui (2024).
Dans une déclaration à la MAP, le vice-président de l’Association Bouregreg et membre du comité d’organisation du festival, Mohamed Adil Hajji, a indiqué que cette édition s’est distinguée par une programmation riche et variée, marquée par une ouverture sur des cultures et pays lointains à travers la participation de films issus de différents continents et de coproductions internationales, ainsi qu’une forte présence arabe et marocaine, notamment à travers le film "Algues Amères" de Driss Chouika.
Le festival a mis en lumière cette année le rôle de la femme dans la société à travers le cinéma, tout en questionnant les stéréotypes véhiculés par certaines œuvres, a-t-il poursuivi, soulignant que l’ouverture au public a constitué l’un des points forts de cette édition, grâce à l’intensification des projections et des conférences, ainsi qu’à des séances en plein air sur la place du Souk El Kebir dans la médina de Salé.
Dans une déclaration similaire, la réalisatrice belge Ève Duchemin, lauréate du Grand Prix de la catégorie des films documentaires avec "Petit Rempart", a exprimé sa joie de participer au festival, relevant qu’elle y a trouvé un espace privilégié pour rencontrer des femmes venues des quatre coins du monde et échanger sur leurs causes et expériences.
De son côté, la réalisatrice, scénariste et productrice marocaine Asmae El Moudir a affirmé que le festival constitue un espace unique valorisant les œuvres nationales et internationales traitant des questions de la femme, notant qu’il reste l’un des rares rendez-vous cinématographiques à préserver fidèlement son essence, à savoir mettre en avant l’image et le rôle de la femme dans la société à travers le septième art.
Elle a expliqué que le festival a contribué à consolider le rayonnement culturel de la ville de Salé, où les quartiers populaires accueillent désormais une véritable culture cinématographique grâce aux projections et aux activités organisées chaque année, ajoutant que la continuité et l’accumulation d’expériences réalisées par le festival en font un rendez-vous annuel majeur, attendu avec enthousiasme par le public et renforçant la présence de la femme dans le paysage cinématographique.
Cette édition s’est ouverte par un hommage aux actrices marocaines Souad Nejjar et Farah El Fassi, à l’artiste égyptienne Hanan Motawie et à la journaliste marocaine Sabah Bendaoud.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ce festival, organisé du 22 au 27 septembre par l’Association Bouregreg, constitue l'occasion de soutenir les efforts visant à améliorer la condition des femmes, à changer les stéréotypes et à s'ouvrir aux expériences cinématographiques d'autres sociétés, ainsi qu'à échanger des expériences et des idées entre les cinéastes.
Le prix spécial du jury a été attribué au film "Manas" de Marianna Brennand (Brésil-Portugal, 2024), tandis que le prix de la première œuvre a été décerné à "L’année de la veuve" de Veronika Lišková (République tchèque-Slovaquie-Croatie, 2024).
L’actrice norvégienne Helga Guren a reçu le prix de la meilleure interprétation féminine pour son rôle dans "Loveable" de Lilja Ingolfsdottir (Norvège, 2024), alors que le prix de la meilleure interprétation masculine a été attribué ex æquo aux acteurs Housam Mohamed, Kader Benchoudar, Mortadha Hasni, Achraf Jamai et Nawed Selassie Said pour le film "Les filles désir" de Prïncia Car (France, 2025).
Par ailleurs, le prix parité l'Autre Rive a été accordé au film marocain "404.01" du producteur Mohamed Eddarhor.
En ce qui concerne la compétition officielle des films documentaires, le grand prix a été décerné à "Petit Rempart" d'Ève Duchemin (Belgique, 2025), avec une mention spéciale pour "Mother City" de Miki Redelinghuys et Pearlie Joubert (Afrique du Sud, 2024).
De même, le prix jeune public du court-métrage a été attribué à "Frères de Lait" de Kenza Tazi, alors que le prix jeune public du long-métrage a été alloué à "404.01" de Younes Reggab, avec une mention spéciale pour le long métrage marocain "Empreinte du vent" de Layla Triqui (2024).
Dans une déclaration à la MAP, le vice-président de l’Association Bouregreg et membre du comité d’organisation du festival, Mohamed Adil Hajji, a indiqué que cette édition s’est distinguée par une programmation riche et variée, marquée par une ouverture sur des cultures et pays lointains à travers la participation de films issus de différents continents et de coproductions internationales, ainsi qu’une forte présence arabe et marocaine, notamment à travers le film "Algues Amères" de Driss Chouika.
Le festival a mis en lumière cette année le rôle de la femme dans la société à travers le cinéma, tout en questionnant les stéréotypes véhiculés par certaines œuvres, a-t-il poursuivi, soulignant que l’ouverture au public a constitué l’un des points forts de cette édition, grâce à l’intensification des projections et des conférences, ainsi qu’à des séances en plein air sur la place du Souk El Kebir dans la médina de Salé.
Dans une déclaration similaire, la réalisatrice belge Ève Duchemin, lauréate du Grand Prix de la catégorie des films documentaires avec "Petit Rempart", a exprimé sa joie de participer au festival, relevant qu’elle y a trouvé un espace privilégié pour rencontrer des femmes venues des quatre coins du monde et échanger sur leurs causes et expériences.
De son côté, la réalisatrice, scénariste et productrice marocaine Asmae El Moudir a affirmé que le festival constitue un espace unique valorisant les œuvres nationales et internationales traitant des questions de la femme, notant qu’il reste l’un des rares rendez-vous cinématographiques à préserver fidèlement son essence, à savoir mettre en avant l’image et le rôle de la femme dans la société à travers le septième art.
Elle a expliqué que le festival a contribué à consolider le rayonnement culturel de la ville de Salé, où les quartiers populaires accueillent désormais une véritable culture cinématographique grâce aux projections et aux activités organisées chaque année, ajoutant que la continuité et l’accumulation d’expériences réalisées par le festival en font un rendez-vous annuel majeur, attendu avec enthousiasme par le public et renforçant la présence de la femme dans le paysage cinématographique.
Cette édition s’est ouverte par un hommage aux actrices marocaines Souad Nejjar et Farah El Fassi, à l’artiste égyptienne Hanan Motawie et à la journaliste marocaine Sabah Bendaoud.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ce festival, organisé du 22 au 27 septembre par l’Association Bouregreg, constitue l'occasion de soutenir les efforts visant à améliorer la condition des femmes, à changer les stéréotypes et à s'ouvrir aux expériences cinématographiques d'autres sociétés, ainsi qu'à échanger des expériences et des idées entre les cinéastes.