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Un débat sur les utilisations et les possibilités de l’intelligence artificielle (IA) dans l’industrie cinématographique a eu lieu, mercredi à l’Institut Français de Casablanca, et ce, dans le cadre de la 31ème édition du Festival international d'art vidéo de Casablanca (FIAV).
Cette rencontre-débat a été animée par le réalisateur Nader Takmil Homayoun et le producteur Salar Shahna autour de leur film "Sepideh", assisté par IA. Ce film en cours de réalisation met à contribution les immenses possibilités de création grâce à cette technologie.
Une invention révolutionnaire qui est en train de redéfinir les horizons, permettant notamment aux cinéastes d’explorer de nouveaux univers de création jusque-là insoupçonnés comme l’ont noté les intervenants, indiquant que l’IA permet de tester de nouvelles techniques visuelles, d’inventer des personnages et des scènes imaginaires et d’aller jusqu’au bout de leurs ambitions artistiques, ce qui favorise l’émergence de nouveaux types de récit et de nouveaux genres cinématographiques tout en conservant une part de créativité humaine.
C’est d’ailleurs l’avis du réalisateur et scénariste franco-iranien, Nader Takmil Homayoun, qui considère que l’intelligence artificielle est un atout de taille, permettant un gain de temps considérable dans la production. Néanmoins, il a recommandé une utilisation intelligente et prudente de cette technologie.
Il explique, dans ce registre, que la coopération entre l’homme et la machine permet de combiner les capacités de traitement des données des machines avec les compétences cognitives avancées des humains, ce qui permet de réaliser des œuvres innovantes dans un court laps de temps, estimant, toutefois, que le film reste le fruit de la créativité humaine, le pur produit de son réalisateur.
"J’ai voulu faire un film avec l’appui de l’intelligence artificielle tout en définissant au préalable des champs clairs et des limites. Une manière d’explorer les possibilités de cette technologie, sachant que l’IA est le fruit de l'intelligence humaine", a-t-il fait savoir.
Pour sa part, Salar Shahna, producteur de "Sepideh", a révélé que la réalisation de ce film serait impossible sans le recours à l’intelligence artificielle, étant donné que les événements qu’il évoque se déroulent en Iran, exactement à Ispahan. Ce qui est, selon lui, la preuve que le cinéma et l’IA pourraient faire bon ménage.
Cette édition du FIAV de Casablanca met à l’honneur les nouvelles formes de création numérique, à travers des installations immersives, des œuvres d’art génératif et des performances mêlant technologie, danse et audiovisuel.
Cette rencontre-débat a été animée par le réalisateur Nader Takmil Homayoun et le producteur Salar Shahna autour de leur film "Sepideh", assisté par IA. Ce film en cours de réalisation met à contribution les immenses possibilités de création grâce à cette technologie.
Une invention révolutionnaire qui est en train de redéfinir les horizons, permettant notamment aux cinéastes d’explorer de nouveaux univers de création jusque-là insoupçonnés comme l’ont noté les intervenants, indiquant que l’IA permet de tester de nouvelles techniques visuelles, d’inventer des personnages et des scènes imaginaires et d’aller jusqu’au bout de leurs ambitions artistiques, ce qui favorise l’émergence de nouveaux types de récit et de nouveaux genres cinématographiques tout en conservant une part de créativité humaine.
C’est d’ailleurs l’avis du réalisateur et scénariste franco-iranien, Nader Takmil Homayoun, qui considère que l’intelligence artificielle est un atout de taille, permettant un gain de temps considérable dans la production. Néanmoins, il a recommandé une utilisation intelligente et prudente de cette technologie.
Il explique, dans ce registre, que la coopération entre l’homme et la machine permet de combiner les capacités de traitement des données des machines avec les compétences cognitives avancées des humains, ce qui permet de réaliser des œuvres innovantes dans un court laps de temps, estimant, toutefois, que le film reste le fruit de la créativité humaine, le pur produit de son réalisateur.
"J’ai voulu faire un film avec l’appui de l’intelligence artificielle tout en définissant au préalable des champs clairs et des limites. Une manière d’explorer les possibilités de cette technologie, sachant que l’IA est le fruit de l'intelligence humaine", a-t-il fait savoir.
Pour sa part, Salar Shahna, producteur de "Sepideh", a révélé que la réalisation de ce film serait impossible sans le recours à l’intelligence artificielle, étant donné que les événements qu’il évoque se déroulent en Iran, exactement à Ispahan. Ce qui est, selon lui, la preuve que le cinéma et l’IA pourraient faire bon ménage.
Cette édition du FIAV de Casablanca met à l’honneur les nouvelles formes de création numérique, à travers des installations immersives, des œuvres d’art génératif et des performances mêlant technologie, danse et audiovisuel.









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