
Le film Catsaros du réalisateur égyptien Mohamad El-Hadidi a remporté le Grand Prix de la 13e édition du Festival international d’Assa du cinéma et du Sahara, qui s'est clôturée, lundi à Assa, dans la province d’Assa-Zag.
Lors de la soirée de clôture, tenue en présence de plusieurs figures du cinéma, de représentants des autorités locales et d’élus, les prix ont été attribués aux films lauréats.
Le Grand Prix de cette édition a ainsi été décerné au film Catsaros, parmi 22 courts-métrages en compétition lors de ce festival, organisé par l’Association du Festival d’Assa du cinéma et du théâtre (du 9 au 12 mai).
Le film traite de la redécouverte par les jeunes du sentiment d’appartenance à l'ère moderne, notamment face au sentiment d’aliénation ressenti par la génération actuelle.
Selon les propos de la réalisatrice marocaine Alya Touir, membre du jury de la compétition internationale des courts-métrages, Catsaros raconte l’histoire d’un jeune homme plongé dans l’ennui et le vide de l’ère moderne, qui reçoit un jour un appel téléphonique d’une femme vivant dans les années 40. Il lui parle du futur alors qu’elle lui décrit le passé.
Le Prix du film documentaire a été attribué au film "Rizk min ward" de la réalisatrice marocaine Mounia El Goumi, tandis que le Prix de la réalisation a été décerné ex aequo aux films "Vers la lumière" du réalisateur libanais Kassem Istanbouli et "Un siècle et six ans" du réalisateur égyptien Mohamed Nassef.
Un prix spécial du scénario a été attribué au film "Notre invité" du réalisateur marocain Brahim Adinat.
Les prix du meilleur acteur et de la meilleure actrice sont revenus respectivement à Mohamed Soltana (Maroc), pour son rôle dans "65 jours", et à Safaa Suleiman (Syrie), pour son rôle dans "Crise cardiaque".
La cérémonie de clôture a également été marquée par des hommages rendus à des personnalités issues du monde de la culture, du sport et de la société civile.
Outre des projections de films et un colloque sur "Le cinéma et les causes humanitaires", cet événement cinématographique majeur a été marqué notamment par la tenue de rencontres autour de la réalité de la production et du tournage dans le Sahara, ainsi que des ateliers de formation au profit des étudiants, élèves, passionnés et professionnels des établissements de formation.
Cette édition a été organisée avec le soutien du Centre cinématographique marocain (CCM), du Conseil provincial d'Assa-Zag et du Conseil de la région de Guelmim-Oued Noun.
Lors de la soirée de clôture, tenue en présence de plusieurs figures du cinéma, de représentants des autorités locales et d’élus, les prix ont été attribués aux films lauréats.
Le Grand Prix de cette édition a ainsi été décerné au film Catsaros, parmi 22 courts-métrages en compétition lors de ce festival, organisé par l’Association du Festival d’Assa du cinéma et du théâtre (du 9 au 12 mai).
Le film traite de la redécouverte par les jeunes du sentiment d’appartenance à l'ère moderne, notamment face au sentiment d’aliénation ressenti par la génération actuelle.
Selon les propos de la réalisatrice marocaine Alya Touir, membre du jury de la compétition internationale des courts-métrages, Catsaros raconte l’histoire d’un jeune homme plongé dans l’ennui et le vide de l’ère moderne, qui reçoit un jour un appel téléphonique d’une femme vivant dans les années 40. Il lui parle du futur alors qu’elle lui décrit le passé.
Le Prix du film documentaire a été attribué au film "Rizk min ward" de la réalisatrice marocaine Mounia El Goumi, tandis que le Prix de la réalisation a été décerné ex aequo aux films "Vers la lumière" du réalisateur libanais Kassem Istanbouli et "Un siècle et six ans" du réalisateur égyptien Mohamed Nassef.
Un prix spécial du scénario a été attribué au film "Notre invité" du réalisateur marocain Brahim Adinat.
Les prix du meilleur acteur et de la meilleure actrice sont revenus respectivement à Mohamed Soltana (Maroc), pour son rôle dans "65 jours", et à Safaa Suleiman (Syrie), pour son rôle dans "Crise cardiaque".
La cérémonie de clôture a également été marquée par des hommages rendus à des personnalités issues du monde de la culture, du sport et de la société civile.
Outre des projections de films et un colloque sur "Le cinéma et les causes humanitaires", cet événement cinématographique majeur a été marqué notamment par la tenue de rencontres autour de la réalité de la production et du tournage dans le Sahara, ainsi que des ateliers de formation au profit des étudiants, élèves, passionnés et professionnels des établissements de formation.
Cette édition a été organisée avec le soutien du Centre cinématographique marocain (CCM), du Conseil provincial d'Assa-Zag et du Conseil de la région de Guelmim-Oued Noun.
Bouillon de culture
Festival
La deuxième édition du Festival du film irlandais se tiendra du 19 au 21 mai au Cinéma Renaissance, à l’initiative de l’ambassade d’Irlande à Rabat, en partenariat avec la Fondation Hiba.
Dans un communiqué, l’ambassade indique que cette édition présentera une sélection captivante de films irlandais, avec un drame sincère, un récit lyrique et un documentaire inspirant, tous réalisés, écrits ou produits par des femmes cinéastes irlandaises.
La sélection, sous-titrée en français, comprend Róise & Frank, (19 mai, 18h30), une comédie-drama émouvante en langue irlandaise, célébrant l’espoir, la guérison et le lien unique entre l’homme et l’animal, et That They May Face the Rising Sun, (20 mai, 18h30), un portrait poétique et contemplatif de l’Irlande rurale, adapté du célèbre roman de John McGahern.
Il s’agit aussi, poursuit le communiqué, de Mrs. Robinson, (21 mai, 18h30), un documentaire captivant sur l’héritage d’une figure pionnière de la politique et du féminisme irlandais, Mme Mary Robinson, première femme Présidente d’Irlande.
Le festival vise à renforcer les liens culturels entre l’Irlande et le Maroc, et à faire découvrir au public marocain la richesse du cinéma irlandais.
Cette manifestation est le point de départ d’un programme d’événements culturels destinés à marquer le 50e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre l’Irlande et le Royaume du Maroc, conclut l’ambassade.
La deuxième édition du Festival du film irlandais se tiendra du 19 au 21 mai au Cinéma Renaissance, à l’initiative de l’ambassade d’Irlande à Rabat, en partenariat avec la Fondation Hiba.
Dans un communiqué, l’ambassade indique que cette édition présentera une sélection captivante de films irlandais, avec un drame sincère, un récit lyrique et un documentaire inspirant, tous réalisés, écrits ou produits par des femmes cinéastes irlandaises.
La sélection, sous-titrée en français, comprend Róise & Frank, (19 mai, 18h30), une comédie-drama émouvante en langue irlandaise, célébrant l’espoir, la guérison et le lien unique entre l’homme et l’animal, et That They May Face the Rising Sun, (20 mai, 18h30), un portrait poétique et contemplatif de l’Irlande rurale, adapté du célèbre roman de John McGahern.
Il s’agit aussi, poursuit le communiqué, de Mrs. Robinson, (21 mai, 18h30), un documentaire captivant sur l’héritage d’une figure pionnière de la politique et du féminisme irlandais, Mme Mary Robinson, première femme Présidente d’Irlande.
Le festival vise à renforcer les liens culturels entre l’Irlande et le Maroc, et à faire découvrir au public marocain la richesse du cinéma irlandais.
Cette manifestation est le point de départ d’un programme d’événements culturels destinés à marquer le 50e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre l’Irlande et le Royaume du Maroc, conclut l’ambassade.