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Le film est passé de quatre heures à un peu moins de deux heures. Sur le tapis rouge lundi, Dolan, 29 ans, n’est pas revenu sur la difficile gestation du film, ni sur le choix de faire son premier opus en anglais. Il ne s’est pas adressé aux journalistes, laissant à ses acteurs le soin de répondre aux questions.
“Ça parle de l’industrie du spectacle, d’Hollywood”, a expliqué Kit Harington. “De plus, il voulait travailler avec certains acteurs qui ne parlaient pas français, donc vous savez, à l’arrivée il a choisi de faire un film en anglais”.
Le film raconte l’histoire d’un jeune acteur, Rupert Turner, qui se remémore sa correspondance avec une ancienne vedette américaine de la télévision une décennie plus tôt. Il raconte la vie compliquée de l’acteur, les compromis que ce dernier a dû faire pour accéder à la notoriété, mais également sa tendresse et sa générosité envers l’enfant qu’il était, et les conséquences sur sa propre vie.
C’est la première fois que le jeune prodige québécois présente un film au Festival international de Toronto (TIFF), principale manifestation du genre en Amérique du Nord, souvent considérée comme un tremplin vers les Oscars américains. Dolan y apparaît également pour un rôle secondaire dans le film “Boy erased”, histoire d’un adolescent gay forcé de subir une thérapie.








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