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Documentaire autorisé par sa famille, le film est nourri par une quantité d’archives souvent inédites, films et photos de famille notamment, et de témoignages de ses proches - ses frères, sa mère, son ex-mari Bobby Brown, des collaborateurs et des proches de la famille.
Cherchant dans son enfance des explications au mal-être de la chanteuse et à ses démons, le documentaire livre notamment trois témoignages de ses proches affirmant que Whitney aurait été agressée sexuellement par sa cousine, la chanteuse Dee Dee Warwick, décédée en 2008, soeur de la chanteuse Dionne Warwick et nièce de la mère de Whitney, Cissy Houston, elle aussi chanteuse. Ce secret de famille est abordé par son demi-frère Gary Garland-Houston - qui dit avoir été, tout comme Whitney, agressé sexuellement -, par sa belle-soeur Pat Houston et son assistante personnelle Mary Jones.
“Pendant longtemps, en la regardant à l’écran, je me disais +il y a quelque chose chez cette femme qui a l’air de refléter un malaise. Elle a l’air de ne pas aimer son corps d’une certaine façon”, a souligné Kevin Macdonald, Oscar du meilleur documentaire en 2000 pour “Un jour en septembre”, sur la prise d’otages aux JO de Munich en 1972. “Je m’étais toujours demandé +Qu’est-ce que c’est? D’où est-ce que ça vient?+. J’ai commencé à me demander si elle avait été abusée sexuellement ou quelque chose comme ça. Ensuite, quelqu’un m’a dit en avoir parlé à Whitney et qu’elle avait dit que c’était ce qui s’était passé et que c’était les origines de sa tristesse. Et finalement, son frère m’en a parlé, puis sa belle-soeur, puis son assistante”, a-t-il dit.