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L'avenue Mezouar, l'un des principaux axes du centre-ville de Laâyoune, abrite le siège du secrétariat provincial du PJD.
Ce secrétariat provincial avait parrainé le dossier de revendications des familles de ceux qu'on désigne comme "les détenus de G'Dim Izik" du nom du tristement célèbre camp de la banlieue de Laâyoune. Les membres de ces familles avaient pris l'habitude de se rendre au siège du parti pour s'enquérir de leur dossier, avant même que ce parti n'ait eu en charge la présidence du gouvernement. Mais depuis la nomination de Benkirane, les membres des familles observent un sit-in pacifique devant le siège du parti, sans s'attirer la foudre des forces de l'ordre. Mais le vendredi 13 janvier, les choses ont pris une autre tournure, le siège du parti était encerclé par les éléments des forces de l'ordre et la tension était plus qu'électrique. Des batailles rangées ont éclaté opposant les forces de l'ordre aux protestataires, provoquant ainsi le bouclage de tout le quartier autour de l'avenue Mezouar.
Ces affrontements firent plus de 50 blessés de part et d'autre, dont des cas graves. Ce lundi matin, les mêmes éléments se sont retrouvés au même endroit, leur intention est d’en découdre avec les forces de l’ordre.
Ce secrétariat provincial avait parrainé le dossier de revendications des familles de ceux qu'on désigne comme "les détenus de G'Dim Izik" du nom du tristement célèbre camp de la banlieue de Laâyoune. Les membres de ces familles avaient pris l'habitude de se rendre au siège du parti pour s'enquérir de leur dossier, avant même que ce parti n'ait eu en charge la présidence du gouvernement. Mais depuis la nomination de Benkirane, les membres des familles observent un sit-in pacifique devant le siège du parti, sans s'attirer la foudre des forces de l'ordre. Mais le vendredi 13 janvier, les choses ont pris une autre tournure, le siège du parti était encerclé par les éléments des forces de l'ordre et la tension était plus qu'électrique. Des batailles rangées ont éclaté opposant les forces de l'ordre aux protestataires, provoquant ainsi le bouclage de tout le quartier autour de l'avenue Mezouar.
Ces affrontements firent plus de 50 blessés de part et d'autre, dont des cas graves. Ce lundi matin, les mêmes éléments se sont retrouvés au même endroit, leur intention est d’en découdre avec les forces de l’ordre.
