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Après une tentative de suicide, Ali qui vit dans un état de dépression avancé, est conduit en urgence dans le même hôpital. C’est le début d’une aventure douloureuse pour ces deux personnages dont le destin est entre les mains de Tariq, un médecin dévoué et consciencieux qui a abandonné une carrière prometteuse au Canada pour se rendre à son pays natal et mettre son expertise au service de ses compatriotes. A travers ce film, le réalisateur focalise les regards sur le haut sens humain et la question de la responsabilité individuelle. Il planche également sur la manière de l’intégrer à la responsabilité collective, à travers l’utilisation du microcosme de l'hôpital.
Dans une déclaration à la presse à l'issue de la projection de son film au Palais des Congrès de la cité ocre, le metteur en scène a confié que "la réalisation d'un film dans un hôpital est une métaphore, en ce sens qu'il y a plusieurs lectures à donner. Et à travers cet hôpital, on voit la société marocaine avec tout ce qu’elle a de positif et de négatif. Pour moi, c’était une manière de résumer un peu la société marocaine". Dans une déclaration similaire, Younes Bouab a expliqué que "le film a une portée sociale".