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Abordant les notions de déplacement, voyage, migration et hybridité culturelle, le thème de la Biennale fait écho à un grand nombre de questions contemporaines envers lesquelles les artistes réagissent sous diverses formes créatives, explique la même source. Ouverte aux artistes exerçant dans différentes disciplines, dont peinture, gravure, photographie, sculpture, installation, performance, son et nouveaux médias, cette manifestation se déroulera dans plusieurs espaces emblématiques de la ville blanche dont la Villa des arts de Casablanca, la Coupole, l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Casablanca, Instituto Cervantes, l’Eglise San Buenaventura et d’autres encore.
D’après les organisateurs, cet évènement placé sous la direction artistique de Christine Eyene, “propose d’explorer des récits et vécus issus de contextes insulaires ainsi que le rapport aux affluents, mers et océans, dans une dimension à la fois historique et contemporaine, incluant les expériences de déplacement, voyage, migration et hybridité culturelle”. Outre les expositions d’œuvres d’art, la Biennale propose des projets de recherche pilotés par les artistes Delaine Le Bas (Royaume-Uni), Yvon Ngassam (Cameroun), Yohann Queland de Saint-Pern (France- Île de la Réunion) et Youssef Tabti (France / Allemagne), précise la même source. En plus des artistes cités, deux expositions seront individuellement commissariées par Yasmina Naji, fondatrice de Kulte Galerie et Editions (Rabat) et Ema Tavola (Nouvelle-Zélande).
Initiée en 2012 sous le thème révélateur de “dialogue”, la Biennale internationale de Casablanca a pour but de créer un échange interculturel entre les artistes marocains, africains et la scène internationale. C’est aussi une plateforme ouverte aux pratiques artistiques contemporaines ainsi qu’à une réflexion sur des sujets allant du champ créatif aux questions de société.