-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Naomi Watts joue le rôle de Sam Bloom dans l’histoire vraie, tirée du livre éponyme “Penguin Bloom”, dans laquelle un oiseau blessé, baptisé Penguin (pingouin), aide une famille, dont la mère est paralysée après une chute, à surmonter ce drame. “J’étais un peu inquiète.
Comment faire jouer un oiseau et les pies, c’est bien connu, ne sont pas très aimables”, a confié l’actrice au cours d’une conférence de presse virtuelle. Le film utilise des images générées par ordinateur, mais surtout “une multitude” de pies bien vivantes, a indiqué le réalisateur australien Glendyn Ivin. “Elles ont volé les scènes jour après jour”, a déclaré Naomi Watts, rappelant en souriant que l’un des oiseaux s’était soulagé sur sa tête lors du premier jour de tournage.
“On dit toujours qu’il ne faut jamais travailler avec des enfants ou des animaux, parce que lorsqu’ils sont bons, on ne voit qu’eux”, a plaisanté Andrew Lincoln, qui joue le mari de Sam. Sam Bloom parlant de chez elle en Australie a pour sa part confié que la vraie Penguin avait apporté “de la joie” dans sa famille.
De son côté, la vedette de “Selma”, David Oyelowo, a fait à Toronto ses débuts de réalisateur avec la présentation de “Water Man”. Ecrit par la scénariste Emma Needell et soutenu par la présentatrice vedette Oprah Winfrey, le film raconte l’histoire d’un petit garçon (Lonnie Chavis) parti à la recherche d’un personnage doté de pouvoirs mystérieux, appelé “Water Man”, dans l’espoir que celui-ci pourra guérir sa mère (Rosario Dawson) atteinte d’un cancer.
“J’ai fait (ce film) pour le petit garçon que j’étais à 12 ans”, a confié l’acteur d’origine nigériane, en soulignant qu’il est “très rare de voir une famille noire au centre d’une histoire de ce type”.
Le film ne vise pas seulement “les personnes noires ou brunes”, a souligné David Oyelowo, espérant qu’il serait aussi vu par des blancs et que ceux-ci s’y retrouveraient aussi. Se voir dans la peau de personnes différentes “engendre l’empathie et diminue l’ignorance”, spécialement à un “moment où il y a tant de divisions et de discorde” dans le monde, a-t-il ajouté.