Autres articles
-
Célébration de la Journée mondiale de la Protection civile
-
La PAHRC approuve la proposition marocaine de fusionner deux plans arabes de promotion des droits de l'Homme
-
Le CNDH réitère sa position pour l'abolition de la peine de mort
-
Marocains bloqués à Sète
-
Participation de l’Hôpital militaire d'instruction Mohammed V à une tournée mondiale de chirurgie holographique
L’affaire fait grand bruit à Essaouira. On n’en revient toujours pas. Et pour cause, depuis quelques jours, une sombre affaire de tentative de vente d’un bébé par une mère célibataire à une femme résidant à l’étranger défraie la chronique dans la cité des Alizés.
Le plus curieux dans cette histoire, c’est que cette affaire n’aurait pas été mise au jour si tout s’était passé comme l’avait souhaité la mère biologique du bébé.
En effet, c’est un litige entre les deux parties concernant le montant de la curieuse transaction qui a mis la puce à l’oreille de la police judiciaire et permis l’ouverture d’une enquête pour tentative de vente d’un enfant. Dépitée, la mère biologique a décidé d’alerter la police judiciaire suite à un litige autour du règlement du prix fixé pour l’achat du bébé.
Selon des sources proches de l’enquête, le montant de la vente était fixé au préalable à 40 mille dirhams.
L’enquête a aussi permis de révéler d’autres complicités dont celle d’une infirmière responsable au service maternité au Centre hospitalier provincial (CHP) Sidi Mohammed Ben Abdellah à Essaouira. Cette dernière a été à son tour auditionnée suite à son implication dans l’enregistrement du bébé sur les registres de l’hôpital au nom de la femme acquéreuse.
Niant toute complicité dans le marché conclu entre la mère biologique de l’enfant et la fameuse acheteuse, l’infirmière s’est défendue en invoquant une simple erreur de sa part.
Toujours est-il que cette affaire vient de mettre à nu les failles affectant la procédure d’enregistrement des bébés au sein du service de maternité, notamment en ce qui concerne les enfants des mères célibataires.
Le plus curieux dans cette histoire, c’est que cette affaire n’aurait pas été mise au jour si tout s’était passé comme l’avait souhaité la mère biologique du bébé.
En effet, c’est un litige entre les deux parties concernant le montant de la curieuse transaction qui a mis la puce à l’oreille de la police judiciaire et permis l’ouverture d’une enquête pour tentative de vente d’un enfant. Dépitée, la mère biologique a décidé d’alerter la police judiciaire suite à un litige autour du règlement du prix fixé pour l’achat du bébé.
Selon des sources proches de l’enquête, le montant de la vente était fixé au préalable à 40 mille dirhams.
L’enquête a aussi permis de révéler d’autres complicités dont celle d’une infirmière responsable au service maternité au Centre hospitalier provincial (CHP) Sidi Mohammed Ben Abdellah à Essaouira. Cette dernière a été à son tour auditionnée suite à son implication dans l’enregistrement du bébé sur les registres de l’hôpital au nom de la femme acquéreuse.
Niant toute complicité dans le marché conclu entre la mère biologique de l’enfant et la fameuse acheteuse, l’infirmière s’est défendue en invoquant une simple erreur de sa part.
Toujours est-il que cette affaire vient de mettre à nu les failles affectant la procédure d’enregistrement des bébés au sein du service de maternité, notamment en ce qui concerne les enfants des mères célibataires.