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Ce n’est pas la première fois que ce genre de drames se produisent sur nos routes. La Justice marocaine d’après des jugements rendus avait écarté la responsabilité de l’un des principaux acteurs en charge de la gestion des autoroutes, à savoir la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) en avançant que cette dernière construit des infrastructures en conformité avec les standards internationaux, y compris pour ce qui est des mesures de sécurité. Concernant ce point précisément, les derniers caillassages, qui se font de plus en plus récurrents, ne semblent pas étayer cette thèse. Dernièrement après le drame de Tiflet, des projets de l’entreprise d’équiper, en guise de protection, ses ponts, en grillages et caméras à l’instar de ceux de la rocade à Aïn Chock étaient en cours. Pour ce qui est des prolongements dans les réseaux urbains ne dépendant pas de l’ADM, ces mesures doivent être étendues par les communes en charge de leur gestion.