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Vêtu d'une jupe ornée et bariolée appelée Tanoura et d’un turban rouge et noir, le danseur égyptien Abdellah Jasser a récemment offert, à Oujda, une prestation chorégraphique de haute volée alliant danse giratoire, musique soufie et invocations mystiques.
Sur fond de sonorités profondément orientales ayant procuré une ambiance conviviale au sein du Théâtre Mohammed VI d'Oujda, le danseur qui tourne autour de lui-même tel une toupie aux couleurs chatoyantes a su manier avec perfection la jupe, qui prend la forme d’une grande roue à la verticale puis à l’horizontale.
Inspirées du patrimoine de tariqa mawlawia, les figures artistiques corporelles, couplées de jeux de lumières plus ou moins intenses, prennent le sens inverse des aiguilles d'une montre créant ainsi un spectacle de rotations qui ne laisse pas indifférent.
Subjugué par l’exécution, le public, qui n’a pas manqué d’immortaliser les harmonieuses représentations du danseur, a rendu la sublime prestation par une chaleureuse standing ovation.
S'inscrivant dans le cadre des Nuits du Madih et du Samaa, initiées par le ministère de la Culture et de la Communication en partenariat avec la Commune urbaine d'Oujda et l'Organisation marocaine de la diplomatie culturelle, cette soirée a été ponctuée également par des chants panégyriques à la gloire du Prophète Sidna Mohammed interprétés par les troupes "Chabab Mohammed" et "Arrayan".
Cette soirée fait partie des actions menées par l'Organisation marocaine de la diplomatie culturelle visant à jeter les ponts entre les différents peuples et promouvoir les échanges culturels, a indiqué à la MAP, Hicham Kezout, membre de l'Organisation, ajoutant que le but étant d'encourager une meilleure connaissance des autres cultures mais aussi de faire connaître la culture marocaine. Et d'ajouter que le soufisme a souvent considéré l’art, et notamment la danse, comme un moyen permettant de raffiner les goûts et les esprits et d’exprimer les valeurs de paix, d'amour, de pardon et de tolérance.
Sur fond de sonorités profondément orientales ayant procuré une ambiance conviviale au sein du Théâtre Mohammed VI d'Oujda, le danseur qui tourne autour de lui-même tel une toupie aux couleurs chatoyantes a su manier avec perfection la jupe, qui prend la forme d’une grande roue à la verticale puis à l’horizontale.
Inspirées du patrimoine de tariqa mawlawia, les figures artistiques corporelles, couplées de jeux de lumières plus ou moins intenses, prennent le sens inverse des aiguilles d'une montre créant ainsi un spectacle de rotations qui ne laisse pas indifférent.
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Cette soirée fait partie des actions menées par l'Organisation marocaine de la diplomatie culturelle visant à jeter les ponts entre les différents peuples et promouvoir les échanges culturels, a indiqué à la MAP, Hicham Kezout, membre de l'Organisation, ajoutant que le but étant d'encourager une meilleure connaissance des autres cultures mais aussi de faire connaître la culture marocaine. Et d'ajouter que le soufisme a souvent considéré l’art, et notamment la danse, comme un moyen permettant de raffiner les goûts et les esprits et d’exprimer les valeurs de paix, d'amour, de pardon et de tolérance.