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Mais dans un élan trop fougueux, incontrôlé et foncièrement irresponsable, il s’est laissé aller à bien plus loin que ce qui est communément appelé «l’affaire El Ferraâ», cet ex-président de la Mutuelle générale des fonctionnaires de l’Administration publique, déchu par la force de la loi. Mesure que d’ailleurs le tout nouveau «leader syndicaliste», Chabat de son nom, conteste vigoureusement, oubliant au passage qu’elle n’est pas l’œuvre du seul ministre de l’Emploi, mais aussi celle du ministre des Finances tout aussi convaincu par l’irréfutabilité des preuves, au même titre que le Premier ministre Abbas El Fassi, maître adoré du Chabat en question.
Et comme si celui-ci n’avait pas, jusque-là, assez divagué, c’est, sans transition aucune qu’il s’est mis à déverser son venin et à débiter ses balivernes et autres insanités à l’encontre de l’USFP, ses symboles, ceux de toute une nation. Et sans vergogne ni soupçon de scrupule, il fait du Parti des forces populaires, celui dont les militantes et militants ont consenti, des décennies durant, de lourds et inestimables sacrifices, pour un Maroc évolué et pour des Marocains libres, un complice voire un artisan des années de plomb !
Dans sa stupidité révoltante et son ignorance déconcertante, il s’en prend dans un langage ordurier à feu Mehdi Ben Barka. Faut-il rappeler au pauvre hère qu’il s’était attaqué là à l’un des pères fondateurs du Parti de l’Istiqlal? pour ne s’arrêter qu’à ce seul «détail».
Le silence n’est plus de mise aujourd’hui, surtout quand l’outrage vient de si bas et que ce sont quelques fantoches, qui plus est, s’amusent à dénaturer l’Histoire.