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La cérémonie d'ouverture de ce Festival latino, porté à bout de bras par un groupe de passionnés conduits par la belle Geneviève Typhiou et son acolyte Romain Dat avec le soutien et le concours expérimenté de la Fondation Lorin, a été ponctuée d'un spectacle animé par le groupe de percussion Matissa représenté par 14 jeunes percussionnistes, qui ont revisité tous les rythmes inspirés de sons africains, brésiliens, afro-cubains et marocains.
Les mélomanes de musique latine ont été gratifiés d'un autre concert donné par Grupo Salsafon, une formation de onze musiciens réunis autour d'une passion commune, la salsa dure et pure des années 70, c’est-à-dire le rythme créé par les immigrés latinos dans les quartiers de New York. Depuis 10 ans de scènes, Salsafon a démontré son savoir-faire, notamment lors des éditions 2011 et 2012 de Tempo Latino, un des festivals les plus importants de musique latine en Europe, où ils ont obtenu le Prix de La Conga au meilleur orchestre révélation.
Le public a été également enchanté par des spectacles de qualité donnés par le collectif Cumbia Chirarra qui a distillé une musique énergisante et sensuelle alliant afrobeat, groove caribéen, funk et dub sulfureux, ainsi que par le groupe de salsa Ocho y Media qui a longtemps accumulé les salles de concert de la France entière, avec un répertoire de compos jubilatoires et une partition fraîche, ludique et inspirée révélant les mille et une facettes qu'une salsa dura old school est aujourd'hui à même d'endosser. Le groupe Diabloson n'est pas en reste. Cette formation de salsa, composée d’une dizaine de musiciens de cultures différentes, a offert une prestation mémorable partageant sa joie de vivre, de chanter et de danser, sur un rythme spontané, avec un esprit de liberté absolue et une énergie débordante qui a touché le cœur des spectateurs.








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