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Les côtes atlantiques s’étendant de Casablanca à Skhirat ont récemment été témoin de l’apparition de l’une des plus belles et des plus singulières créatures naviguant au flot de la vaste étendue salée qu’est l’océan. Une espèce apparentée aux méduses et dont la beauté n’a de commune mesure que sa dangerosité et la menace qu’elle représente pour l’homme.
Nommée la galère portugaise ou physalie, cette créature pourvue d’un pneumatophore, une sorte de ballon ovale translucide et quasi symétrique avec une ligne de crête, a tendance à ensorceler les riverains et attiser leur curiosité. Ainsi, sublimés par ses reflets bleu et violet, ces derniers et principalement les enfants, succombent à l’envie de la saisir pour mieux l’admirer. Et c’est pourtant là que réside l’erreur.
Car comme révélée par le département de la pêche maritime dans un communiqué, la galère portugaise représente un réel danger pour l’être humain. Un danger qui peut entraîner la mort. Et pour cause, cet organisme aquatique est doté d’un venin extrêmement violent, la physalitoxine. Une toxine expulsée à travers de longs filaments urticants de 10 mètres (pouvant atteindre 50 mètres) et dont la dose létale chez l’homme est de 0.2mg/kg. Elle provoque des douleurs intenses, généralement accompagnées de douleurs musculaires locales ou généralisées, gêne respiratoire, crise hémolytique aiguë et défaillance rénale.
Il faut avouer qu’en ces temps maussades, où la pluie règne sur les villes côtières, on pourrait croire que la menace n’est pas imminente. Néanmoins, dans la mesure où il est également susceptible de la croiser sur la plage, force est de constater que la sensibilisation est de mise. De fait, s’il vous vient à l’idée de respirer l’air marin, méfiez-vous de la galère. Evidemment, si les photos sont permises, a contrario les selfies sont proscrits, à cause de la distance réglementaire à respecter, mue par ses longues tentacules.
Alors qu’en temps normal, la galère portugaise appelée aussi la méduse cerf-volant, qui fait partie de la famille des cnidaires, élit domicile au large, particulièrement dans les eaux chaudes, sa présence sur les côtes marocaines peut être expliquée de la manière suivante. Comme elle se déplace en flottant grâce à sa petite voile, elle éprouve énormément de mal à contrôler sa trajectoire. Par conséquent, emportée par les vents et autres violentes tempêtes, elle peut aisément se retrouver près des côtes.
Nommée la galère portugaise ou physalie, cette créature pourvue d’un pneumatophore, une sorte de ballon ovale translucide et quasi symétrique avec une ligne de crête, a tendance à ensorceler les riverains et attiser leur curiosité. Ainsi, sublimés par ses reflets bleu et violet, ces derniers et principalement les enfants, succombent à l’envie de la saisir pour mieux l’admirer. Et c’est pourtant là que réside l’erreur.
Car comme révélée par le département de la pêche maritime dans un communiqué, la galère portugaise représente un réel danger pour l’être humain. Un danger qui peut entraîner la mort. Et pour cause, cet organisme aquatique est doté d’un venin extrêmement violent, la physalitoxine. Une toxine expulsée à travers de longs filaments urticants de 10 mètres (pouvant atteindre 50 mètres) et dont la dose létale chez l’homme est de 0.2mg/kg. Elle provoque des douleurs intenses, généralement accompagnées de douleurs musculaires locales ou généralisées, gêne respiratoire, crise hémolytique aiguë et défaillance rénale.
Il faut avouer qu’en ces temps maussades, où la pluie règne sur les villes côtières, on pourrait croire que la menace n’est pas imminente. Néanmoins, dans la mesure où il est également susceptible de la croiser sur la plage, force est de constater que la sensibilisation est de mise. De fait, s’il vous vient à l’idée de respirer l’air marin, méfiez-vous de la galère. Evidemment, si les photos sont permises, a contrario les selfies sont proscrits, à cause de la distance réglementaire à respecter, mue par ses longues tentacules.
Alors qu’en temps normal, la galère portugaise appelée aussi la méduse cerf-volant, qui fait partie de la famille des cnidaires, élit domicile au large, particulièrement dans les eaux chaudes, sa présence sur les côtes marocaines peut être expliquée de la manière suivante. Comme elle se déplace en flottant grâce à sa petite voile, elle éprouve énormément de mal à contrôler sa trajectoire. Par conséquent, emportée par les vents et autres violentes tempêtes, elle peut aisément se retrouver près des côtes.
Conduite à tenir en cas de piqûre
Retirer délicatement les tentacules collés à l'aide d'un papier, d’un bout de plastique, d’un coquillage, ou même d’un morceau d'algues.
N'utiliser aucun liquide agressif, cela déclencherait des cellules urticantes encore non activées : pas de vinaigre, ni salive, ni urine, et surtout pas d'eau douce,
Rincer délicatement la plaie à l'eau de mer si nécessaire. En cas de douleur persistante ou de malaise, consulter d’urgence un médecin.
Etre vigilant avec les enfants qui peuvent être attirés par sa forme gonflée et aérienne et ses couleurs très vives et attrayantes, faisant penser à un sac de plastique.
N'utiliser aucun liquide agressif, cela déclencherait des cellules urticantes encore non activées : pas de vinaigre, ni salive, ni urine, et surtout pas d'eau douce,
Rincer délicatement la plaie à l'eau de mer si nécessaire. En cas de douleur persistante ou de malaise, consulter d’urgence un médecin.
Etre vigilant avec les enfants qui peuvent être attirés par sa forme gonflée et aérienne et ses couleurs très vives et attrayantes, faisant penser à un sac de plastique.