-
Les Houthis annoncent 68 morts dans des frappes américaines sur un centre de détention de migrants
-
Le représentant de la Palestine devant la CIJ : Israël utilise le blocage de l'aide comme "arme de guerre" à Gaza
-
Un automobiliste fonce dans une foule au Canada et fait plusieurs morts
-
Une explosion dévastatrice dans le principal port d'Iran fait 25 morts et 1.000 blessés
Cela faisait plusieurs mois que l’affaire était discutée entre Paris et Le Caire. Et c’est lundi 14 décembre, lors de la visite du président Moubarak à Paris que la question a été tranchée. Le sommet n’aura pas lieu en février 2010 à Charm el-Cheikh, mais en France. Probablement au mois de mai selon le ministre français de la Coopération. Le lieu n’a pas été fixé.
Aussi bien au Caire qu’à Paris on reconnait que l’objectif était clairement de ne pas avoir à trancher sur le cas du président soudanais. Le Caire, pays hôte du sommet initialement prévu, ne pouvait pas ne pas inviter Omar el-Béchir, un de ses alliés dans la région. De son côté, la France, elle, ne pouvait pas l’accepter à cette grand messe, puisqu’il est poursuivi par la Cour pénale internationale.