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Interrogée par nos confrères du magazine Public, Salma Hayek évoque ce qui la heurte parfois lorsqu’elle lit les critiques sur ses films dans la presse. “Cela ne me gêne pas que l’on indique que je suis sexy, mais je ne veux pas être résumée à cette enveloppe charnelle”, dévoile-t-elle, avant de se remémorer un exemple précis : “Prenez le strip-tease d’Une nuit en enfer, le film écrit par Quentin Tarantino : quand il est sorti, certains ont mentionné que je frétillais desfesses,sans plus… Pour ces cinq minutes de danse, j’avais en fait trimé des semaines”, regrette-t-elle. Mais ces préjugés sur sa plastique ne s’arrêtent pas aux avis extérieurs, la comédienne assure que le réalisateur y serait aussi allé de ses petites remarques : “Lorsque je disais à Quentin que je devais approfondir mon personnage, lui-même me rétorquait : Mais tu ne joues qu’une strip-teaseuse !” Mais Salma Hayek n’entend passe laisser faire, quitte à faire mal : “Je l’aurais scalpé avec ma lime à ongles !”, a-t-elle lancé. Une scène digne d’un Tarantino, non ?
En parlant de sortir les griffes, Salma Hayek a avoué avoir trouvé un étonnant moyen de se tenir compagnie lorsque son époux est accaparé par ses propres occupations. “J’ai eu l’idée de génie de prendre un animal de compagnie en lui faisant croire que c’était un cadeau que je lui faisais ! Et cet animal, c’est un hibou. Je l’ai appelé… Kering, en hommage à la compagnie dont le logo représente justement un hibou”, a expliqué la comédienne, également productrice de la série Monarca sur Netflix. Elle raconte les frasques du volatile : “Il vole jusque dans ma chambre quand mon mari n’est pas là. Je joue au Sudoku en sa présence et quand je regarde la télé, il vient parfois se poser sur ma tête. Il est fan de nouvelles technologies, il passe son temps sur mon iPad”, conclut la maman de la petite Valentina.