-
L’inflation a ralenti à 0,1% à fin octobre 2025
-
Des investisseurs américains explorent les potentialités de la région de Dakhla-Oued Eddahab
-
Banques : Le déficit de liquidité se creuse de 6,15% du 13 au 19 novembre
-
Emprunt obligataire d'Al Omrane du 23 novembre 2018 : Révision du taux d'intérêt facial de la tranche "F"
-
Maroc-Japon : Un accord de prêt d'environ 3,9 MMDH pour le financement de l'aménagement hydro-agricole de la zone sud-est du Gharb
La délégation, qui représentera le Maroc à cette réunion, est présidée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi-Fihri, et comprendra plusieurs hauts responsables marocains.
L'UE sera, quant à elle, représentée par la présidence suédoise, la future présidence espagnole, la commissaire européenne aux Relations extérieures, Mme Benita Ferrero Waldner, ainsi que plusieurs responsables de la Commission, du Conseil et des représentants des Etats membres.
Le Conseil d'Association de cette année sera mis à profit pour évaluer les réalisations et les résultats atteints dans le cadre du Statut Avancé, que le Maroc et l'UE avaient, officiellement, adopté en octobre 2008, précise le ministère.
Les deux parties vont également s'atteler à tracer les perspectives futures de leur partenariat pour les mois à venir. Elles aborderont, à cet égard, l'architecture générale du nouvel instrument qui prendra le relais du plan d'action voisinage. En plus de l'opérationnalisation du Statut Avancé, ce nouvel instrument devra également préfigurer les contours et la portée globale du Partenariat Privilégié qui devra succéder, à moyen terme, à l'actuel Accord d'Association, souligne le ministère. Cette trajectoire, a-t-il ajouté, s'inscrira ainsi dans la Vision de "Pacte singulier" entre le Maroc et l'UE, que SM le Roi Mohammed VI a bien voulu donner à ce partenariat, en le situant à mi-chemin entre l'Association et l'Adhésion.
Elle reflétera aussi le caractère pionnier et avant-gardiste de ce partenariat à l'échelle euro-méditerranéenne et témoigne, encore une fois, de la mise en œuvre optimale par le Maroc de tous les instruments et mécanismes du partenariat aussi bien bilatéraux que régionaux.
Parallèlement à leur agenda bilatéral, le Maroc et l'UE aborderont également plusieurs questions politiques d'intérêt commun, notamment l'Union pour la Méditerranée, la situation au Maghreb, au Proche Orient et dans le continent africain, conclut la même source.









L’inflation a ralenti à 0,1% à fin octobre 2025


