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Au cours de cette rencontre de concertation entre le gouvernement et les syndicats les plus représentatifs dont la FDT, l’accent a été mis essentiellement sur la méthodologie à suivre, la gestion du temps et un ordre du jour bien précis, nous a déclaré Larbi Habchi, membre du Conseil national de la FDT.
Concernant le premier point, il a tenu à préciser que cette méthodologie est appelée à respecter les règles du dialogue social comme elles sont reconnues mondialement. Pour ce qui est de la gestion du temps, un agenda précis est plus qu’exigé, permettant de voir plus clair, de mieux s’organiser et de travailler conformément à un deadline.
Dans ce sens, la FDT a proposé que lors de la prochaine réunion la priorité soit accordée aux points en suspens, notamment le choix des critères de l’indemnisation sur le travail dans des régions difficiles et lointaines, la refonte globale du système de promotion, de notation et d’évaluation des fonctionnaires. Pour ce faire, l’apurement des arriérés de promotion depuis janvier 2003 est une nécessité et une revendication de nature à faire avancer les choses, poursuit Larbi Habchi.
Outre ces points, plusieurs questions ont été également évoquées telles que l’amélioration des revenus des fonctionnaires notamment des Agences urbaines, la décision du trésorier général de procéder à des retenues sur les primes des fonctionnaires de la Trésorerie générale du Royaume qui ont pris part à la grève du 3 mars et le soutien du dossier revendicatif de l’UNIM.
Rappelons que les fonctionnaires de la Trésorerie générale du Royaume observeront un débrayage de 48h, et ce les 19 et 20 avril courant. Cette action qui a été décidée par le Syndicat national démocratique des finances sera accompagnée par des sit-in devant les services de la Direction centrale, régionale et provinciale de la Trésorerie générale à l’échelon national. Suite à ces prélèvements abusifs, il a décidé d’adresser un courrier à Salah Eddine Mezouar et au Trésorier général afin que cette décision soit annulé et que les montants prélevés soient restitués aux ayants droit dans un délai ne dépassant pas 10 jours.