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Rires sous cape, jubilations de la chose littéraire à la fois sacrée et pas du tout sérieuse, authentique et énigmatique… telle paraît l’entreprise d’Edmond Amran El Maleh dans ces «Lettres à moi-même» où l’auteur dialogue avec son double pour découvrir les diverses facettes de l’un et de l’autre. Un jeu de voilement-dévoilement qui conduit à l’esquisse du portrait d’un personnage qui ne serait finalement ni l’un ni l’autre ou bien qui serait peut-être l’un et l’autre.
Edmond Amran El Maleh souhaite pour ce livre que «le lecteur partage le plaisir qu’il a pris à l’écrire» car «ce qui prime avant tout c’est la valeur, la qualité littéraire du texte». Entre récit et poème en prose, ce livre épistolaire nous esquisse un nouveau genre.
Grande figure de la littérature marocaine, Edmond Amran El Maleh est né en 1917 à Safi. Il s’engage dans le parti communiste, lutte pour l’indépendance du pays avant de partir s’installer en France de 1965 à 2000.
Edmond Amran El Maleh est l’auteur de «Parcours immobile» (1980), «Aïlen ou la nuit du récit» (1983), «Mille ans, un jour» (1986), «Le retour d’Abdou El Haki» (1990), «Abner Abounour» (1995) et «Le café bleu» (1998).
Mercredi 05 mai à 19h
Villa des Arts de Casablanca








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