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Ce ralentissement a été quasiment généralisé à l'ensemble des composantes du crédit bancaire, précise la Banque centrale.
Ainsi, le taux de croissance annuel des facilités de trésorerie a décéléré de 9,5% au quatrième trimestre 2012 à 6,4% en janvier 2013.
Dans le même temps, les crédits à l'équipement se sont contractés de 1,9% en glissement annuel, après une baisse de 1,3% au quatrième trimestre 2012.
Pour ce qui est du rythme de progression des crédits à l'immobilier, il est resté inchangé par rapport au quatrième trimestre de l'année précédente, à 5,8%, recouvrant à la fois une augmentation de 10,2% des crédits à l'habitat et un recul de 4,6% des prêts aux promoteurs.
Parallèlement, les crédits à la consommation ont enregistré une hausse mensuelle de 0,2% et leur taux d'accroissement en glissement annuel s'est inscrit en décélération, s'établissant à 9,2% en janvier, après 10,3% au quatrième trimestre 2012.
Pour leur part, les créances diverses sur la clientèle ont accusé une baisse annuelle de 3,9%. S'agissant des créances en souffrance, elles ont progressé de 6,7% en glissement annuel en janvier, après 8,3% au dernier trimestre de l'année 2012.
La ventilation par agent économique du crédit bancaire fait ressortir une décélération du rythme annuel de croissance des prêts destinés au secteur public, une baisse des crédits octroyés aux autres sociétés financières et une augmentation des prêts accordés au secteur privé.