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Selon un communiqué, ladite association y a présenté son projet «Rabat, ville sûre et sans violence contre les femmes et les filles» qui vise à améliorer l’accès des femmes et des filles aux espaces et services publics urbains en garantissant la sécurité des femmes et des filles, et ce en intégrant les différentes parties concernées et en mettant en application un plan d’action qui couvre les différents aspects de cette problématique.
La même source a précisé que les activités principales de «Rabat, ville sûre et sans violence contre les femmes et les filles» coordonné par l’architecte et urbaniste Samira Achour, ont été présentées lors de ce forum, soulignant que Jossour FFM a choisi de travailler sur l’espace public de l’ancienne Médina de Rabat classée patrimoine mondial par l’UNESCO en 2012, dans le but d’établir un sentiment de sécurité dans ses ruelles et d’améliorer l’accès des femmes et des filles aux espaces publics et aux ruelles de l’ancienne ville de Rabat.
«Traditionnellement, les femmes étaient cantonnées dans les foyers où elles assumaient les tâches domestiques et exerçaient des métiers traditionnels à domicile», a souligné le communiqué, ajoutant que «deux focus groups ont été organisés ainsi qu’une enquête de terrain pour établir une liste des violences vécues dans l’espace public et voir comment y remédier» à travers les actions du projet «Fleurir ma Médina».
Ce projet est une initiative qui prend en considération la population qui réside dans les quartiers cibles, en se concentrant sur le développement du sentiment de sécurité des femmes dans leur quartier.
«Grâce à la participation des femmes, des filles et des hommes, le projet a connu un succès», a souligné Samira Achour. Et de préciser que «cette dynamique positive dans le quartier nous a incités à répéter l’expérience dans d’autres ruelles de l’ancienne ville de Rabat».