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“Qu’importe si les bêtes meurent” continue de briller dans les grands rendez-vous du cinéma à l’échelle internationale, indique le CCM dans un communiqué, soulignant qu’après sa sortie en 2019, ce court métrage a participé à la compétition internationale du festival de Sundance, aux ÉtatsUnis (janvier-février 2020), remportant le Grand Prix du jury de ce “prestigieux festival considéré comme étant l’un des plus importants évènements du cinéma indépendant au monde”.
Le film a également participé à la compétition officielle du Festival International du Film de Court métrage de Clermont-Ferrand (février 2020), le plus grand rendez-vous du film de court métrage dans le monde, avant de participer au Festival National du Film de Tanger (février-mars 2020), puis au Festival International du Court Métrage de Sao Paolo (août 2020) et au Festival International du Film Francophone de Namur (octobre 2020). Après les Césars, explique le CCM, “Qu’importe si les bêtes meurent” va poursuivre “sa belle carrière en avril 2021 avec sa nomination par l’Académie des Oscars”. Produit par la société Jiango films, avec le soutien du CCM, “Qu’importe si les bêtes meurent” raconte en langue amazigh l’histoire d’Abdellah, un jeune berger et son père, qui assistent à la mort de leurs bêtes dans les hautes montagnes de l’Atlas. Abdellah doit donc aller se ravitailler dans un village environnant, avant de s’apercevoir que ce dernier a été déserté à cause d’un mystérieux événement.
Œuvre d’art

L’oeuvre de 160 mètres de diamètre signée Janne Pyykkö, semblable à un mandala vu d’en haut, a été réalisée le week-end dernier et est aujourd’hui considéré comme le plus grand dessin sur la neige du pays nordique. Vue du sol, difficile d’en percevoir toute la beauté. Mais quand on s’élève dans le ciel, se révèle alors la beauté sophistiquée de rosaces entremêlées. “C’était un défi pour moi de tout expliquer et de maintenir l’enthousiasme de tout le monde pour le projet - et ça a marché!”, a expliqué à l’AFP Janne Pyykkö, un consultant en informatique à l’origine de l’oeuvre.
Voulant simplement “créer quelque chose de beau” dans les 30 centimètres de neige qui recouvrent un terrain de sport d’Espoo, en banlieue d’Helsinki, Janne Pyykkö a d’abord dessiné son projet sur ordinateur. Il a ensuite recruté des volontaires dans les rangs d’un groupe d’amateurs de raquettes. Sur place, ils ont utilisé des cordes pour tracer des cercles parfaits selon un motif dessiné sur une carte. Ensuite, “nous avons passé trois heures en rigolant et en marchant” sous un soleil hivernal par -10 degrés, se rappelle Elena Ceccarelli, l’une des volontaires. “C’était très difficile de comprendre à quoi cet art allait ressembler” lorsqu’on mettait un pied devant l’autre sur l’épais manteau blanc, explique de son côté, Petri Teralainen, un autre volontaire. “C’était donc génial de voir la photo d’en haut, c’était parfait”, se félicite-t-il aujourd’hui.