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L’organisation patronale, qui «a réservé une bonne partie des débats de son Conseil d’administration, tenu le 05 novembre, au projet de loi de Finances, exprime son regret «de découvrir des dispositions incluses dans ce projet n’ayant jamais fait l’objet de concertation alors même que la Confédération avait entamé un processus de discussions permanentes avec le gouvernement depuis l’été dernier».
«La CGEM constate qu’à défaut de rationaliser les dépenses publiques de fonctionnement de l’administration, qui devraient augmenter de 6%, le gouvernement a opté pour la création de nouvelles taxes qui grèvent les facteurs de production», lit-on encore dans ce communiqué
«On s’attendait à un projet de loi de Finances basé sur l’accélération du rythme de croissance économique, or celui-ci répond essentiellement à une préoccupation budgétaire», poursuit le communiqué ajoutant que «les déficits sociaux imposent la mise en place d’une véritable solidarité active», qui «soit juste et notamment à travers une réforme fiscale qui permettrait une véritable redistribution des richesses».
«La CGEM, consciente de sa responsabilité citoyenne et sociale, a contribué activement et volontairement au débat par une série de propositions qui tiennent compte du contexte économique actuel tant au niveau national qu’international», tient à rappeler le patronat dans son communiqué.