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L'avant-première du long-métrage "Jackpot", réalisé et scénarisé par Rachid Mouhib, a été projetée samedi soir au cinéma Mégarama de Casablanca, devant un parterre d’artistes et de cinéphiles.
Ce film de 90 minutes raconte l'histoire de trois jeunes Casablancais qui s’enrichissent en créant de fausses polémiques sur les réseaux sociaux pour manipuler le marché boursier, guidés par une influenceuse et un arnaqueur du web. Mais leur réussite tourne au scandale quand la police de la cybercriminalité les prend en chasse.
Dans une déclaration à la MAP, Rachid Mouhib a présenté "Jackpot" comme une comédie sociale mettant en scène des jeunes issus d’un quartier populaire, en quête de réussite à l’ère du numérique.
Le réalisateur et scénariste a souligné avoir réuni de grands noms du cinéma marocain pour son premier long-métrage, afin de proposer une œuvre divertissante mais ancrée dans une réalité sociale actuelle.
Pour sa part, l’actrice Najat El Wafi s’est dite honorée de participer à ce projet, insistant sur l’importance, pour le cinéma marocain, de diversifier ses genres et de produire des œuvres capables de toucher un large public à travers des formats variés.
Elle a relevé que son rôle constitue une première dans sa carrière, abordant la question des dérives liées à l’usage des réseaux sociaux, notant que le film propose une critique subtile et humoristique d’un phénomène sociétal récent.
De son côté, l’acteur Rafik Boubker qui incarne le personnage de "Simo Crypto", a déclaré que le film aborde un thème d’actualité lié aux monnaies numériques, décrivant son personnage comme un antagoniste complexe.
Selon lui, ce long-métrage véhicule un message fort : les activités financières numériques peuvent rester dans un cadre légal si elles sont menées avec éthique et sans intention de nuire à autrui.
Outre Rafik Boubker et Najat El Wafi, ce film tourné entre Casablanca, Marrakech et le désert d’Agafay, met en scène un casting talentueux composé de Zouhair Zair, Tarik El Boukhari, Wissal Perez, Omar Lotfi, Abdelkader Kharraz et Abdelilah Ajil.
A noter qu'un vibrant hommage a été rendu à cette occasion à la mémoire de la défunte Naïma Bouhmala, disparue récemment, marqué par la remise d’un trophée symbolique en son honneur.
Ce film de 90 minutes raconte l'histoire de trois jeunes Casablancais qui s’enrichissent en créant de fausses polémiques sur les réseaux sociaux pour manipuler le marché boursier, guidés par une influenceuse et un arnaqueur du web. Mais leur réussite tourne au scandale quand la police de la cybercriminalité les prend en chasse.
Dans une déclaration à la MAP, Rachid Mouhib a présenté "Jackpot" comme une comédie sociale mettant en scène des jeunes issus d’un quartier populaire, en quête de réussite à l’ère du numérique.
Le réalisateur et scénariste a souligné avoir réuni de grands noms du cinéma marocain pour son premier long-métrage, afin de proposer une œuvre divertissante mais ancrée dans une réalité sociale actuelle.
Pour sa part, l’actrice Najat El Wafi s’est dite honorée de participer à ce projet, insistant sur l’importance, pour le cinéma marocain, de diversifier ses genres et de produire des œuvres capables de toucher un large public à travers des formats variés.
Elle a relevé que son rôle constitue une première dans sa carrière, abordant la question des dérives liées à l’usage des réseaux sociaux, notant que le film propose une critique subtile et humoristique d’un phénomène sociétal récent.
De son côté, l’acteur Rafik Boubker qui incarne le personnage de "Simo Crypto", a déclaré que le film aborde un thème d’actualité lié aux monnaies numériques, décrivant son personnage comme un antagoniste complexe.
Selon lui, ce long-métrage véhicule un message fort : les activités financières numériques peuvent rester dans un cadre légal si elles sont menées avec éthique et sans intention de nuire à autrui.
Outre Rafik Boubker et Najat El Wafi, ce film tourné entre Casablanca, Marrakech et le désert d’Agafay, met en scène un casting talentueux composé de Zouhair Zair, Tarik El Boukhari, Wissal Perez, Omar Lotfi, Abdelkader Kharraz et Abdelilah Ajil.
A noter qu'un vibrant hommage a été rendu à cette occasion à la mémoire de la défunte Naïma Bouhmala, disparue récemment, marqué par la remise d’un trophée symbolique en son honneur.