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Le long métrage "Indivision" de la réalisatrice Leïla Kilani a été projeté, mercredi, dans le cadre de la 17ème édition du Festival international du film de femmes de Salé (FIFFS).
Ce film (127 min, 2023) retrace un drame familial qui se déroule dans une zone forestière à la périphérie de Tanger, mais le sujet s'étend à différentes dimensions aussi bien écologiques que sociales.
Le film se raconte sous les yeux de "Lina", une fillette ultra connectée aux réseaux sociaux se démarquant par son mutisme expressif et son regard rebelle.
Elle regarde sa famille se déchirer sur la vente de la propriété familiale perchée au cœur des collines de Tanger, où elle vit avec son père Anis et sa grand-mère Amina. Le père et la fille ont une passion : les oiseaux.
C’est l’été. Amina a accepté d’organiser une noce pour la famille, poussant ses proches à accepter une offre immobilière qui les rendra tous milliardaires, mais Anis refuse de vendre.
Dans son film, la réalisatrice a fait appel à des interprètes passionnés tout en misant sur des dialogues qui reflètent les caractéristiques culturelles d'une classe qui parle un mélange de français et d'espagnol.
Après des débuts remarqués dans le documentaire avec des films tels que "Tanger le rêve des brûleurs" (2002) et "Nos lieux interdits" (2008), Leïla Kilani réalise son premier long métrage de fiction, "Sur la planche", présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2011. "Indivision" est son deuxième long métrage de fiction.
Ce film (127 min, 2023) retrace un drame familial qui se déroule dans une zone forestière à la périphérie de Tanger, mais le sujet s'étend à différentes dimensions aussi bien écologiques que sociales.
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Elle regarde sa famille se déchirer sur la vente de la propriété familiale perchée au cœur des collines de Tanger, où elle vit avec son père Anis et sa grand-mère Amina. Le père et la fille ont une passion : les oiseaux.
C’est l’été. Amina a accepté d’organiser une noce pour la famille, poussant ses proches à accepter une offre immobilière qui les rendra tous milliardaires, mais Anis refuse de vendre.
Dans son film, la réalisatrice a fait appel à des interprètes passionnés tout en misant sur des dialogues qui reflètent les caractéristiques culturelles d'une classe qui parle un mélange de français et d'espagnol.
Après des débuts remarqués dans le documentaire avec des films tels que "Tanger le rêve des brûleurs" (2002) et "Nos lieux interdits" (2008), Leïla Kilani réalise son premier long métrage de fiction, "Sur la planche", présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2011. "Indivision" est son deuxième long métrage de fiction.









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