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La Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger a organisé, lundi à Rabat, une rencontre dédiée à la présentation de l'ouvrage "Lettres à Abel" de l'écrivaine franco-marocaine Maï-do Hamisultane, avec la participation d'un parterre de personnalités issues du monde culturel.
Paru aux éditions "La Cheminante" (2017), ce récit de 120 pages évoque les lettres d'une mère à son fils "Abel", dont elle a perdu la garde, et met en valeur des thématiques telles que l'amour maternel, ou encore les sentiments de séparation et de déception.
Dans une déclaration à la MAP, Maï-do Hamisultane a fait savoir que son oeuvre relate l'histoire d'une femme exilée qui a été séparée de son enfant et décrit la souffrance de cette mère qui trouve refuge dans la rédaction de lettres d'amour à son fils qu'elle a été contrainte d’abandonner.
Cet ouvrage tente de sonder l'amour maternel après une rupture tragique, en évoquant les souvenirs d'une mère qui s'adresse à son fils, a précisé l'auteure, notant que le récit aborde, sous une forme poétique, divers sentiments allant de la peine à l'amour, la sérénité à la douleur, reflétant ainsi le ressenti de la mère malgré les circonstances et les difficultés de la vie. Maï-Do Hamisultane est une écrivaine franco-marocaine née à La Rochelle aux Etats-Unis. Après une enfance passée entre le Cap d'Antibes et Casablanca, elle étudie en classes préparatoires et entreprend des études de médecine et se spécialise en psychiatrie.
La Franco-Marocaine Maï-do Hamisultane compte parmi ses œuvres « Mira Ventos » (2012), « La Blanche » (2014) et « Santo Sospir » 2015.
Paru aux éditions "La Cheminante" (2017), ce récit de 120 pages évoque les lettres d'une mère à son fils "Abel", dont elle a perdu la garde, et met en valeur des thématiques telles que l'amour maternel, ou encore les sentiments de séparation et de déception.
Dans une déclaration à la MAP, Maï-do Hamisultane a fait savoir que son oeuvre relate l'histoire d'une femme exilée qui a été séparée de son enfant et décrit la souffrance de cette mère qui trouve refuge dans la rédaction de lettres d'amour à son fils qu'elle a été contrainte d’abandonner.
Cet ouvrage tente de sonder l'amour maternel après une rupture tragique, en évoquant les souvenirs d'une mère qui s'adresse à son fils, a précisé l'auteure, notant que le récit aborde, sous une forme poétique, divers sentiments allant de la peine à l'amour, la sérénité à la douleur, reflétant ainsi le ressenti de la mère malgré les circonstances et les difficultés de la vie. Maï-Do Hamisultane est une écrivaine franco-marocaine née à La Rochelle aux Etats-Unis. Après une enfance passée entre le Cap d'Antibes et Casablanca, elle étudie en classes préparatoires et entreprend des études de médecine et se spécialise en psychiatrie.
La Franco-Marocaine Maï-do Hamisultane compte parmi ses œuvres « Mira Ventos » (2012), « La Blanche » (2014) et « Santo Sospir » 2015.