Autres articles
-
Chercher une solution pour améliorer la situation sociale et financière des éducateurs et éducatrices des écoles primaires
-
Le “Smart life ” ou quand le digital s'invite dans nos vies
-
Signature d’ avenants aux accords spéciaux pour la création de 100 classes préscolaires
-
Tayeb Hamdi : Le couvre-feu du Ramadan évitera au Maroc une troisième vague de Covid-19
-
La forêt de Maâmoura, un échappatoire au cœur de la nature
Une enquête judiciaire a été ouverte par le Parquent général de Tétouan, ainsi qu'une enquête administrative par l'inspection générale du ministère de la Santé, afin de déterminer les circonstances et les responsabilités suite au test qui s'est révélé positif au coronavirus (Covid-19) d'un médecin exerçant à Tétouan et qui ne s'est pas conformé aux règles exigées en matière de prévention de la propagation de cette pandémie.
Après son retour d'un séjour à l'étranger, l'intéressé a continué à consulter des patients et a même réalisé deux actes opératoires, sans que le délégué provincial du ministère de la Santé ne l'ait avisé sur les règles et le protocole précis qu'il devait suivre, indique dimanche un communiqué du ministère de la Santé.
Les deux enquêtes ont révélé un manquement aux règles déontologiques et éthiques du médecin en mettant la vie d'autrui en danger, usurpation de qualification, sachant qu'il s'agit d'un médecin généraliste et non d'un gynéco-obstétricien comme il prétend, manque de responsabilité et négligence du délégué provincial et fausse information, selon la même source.
Devant ces faits, poursuit le ministère, il a été décidé la fermeture de la clinique et du cabinet médical en question avec poursuite judiciaire et administrative, de prendre des mesures correctives à l'encontre du délégué provincial de la santé et la poursuite de l'enquête judiciaire.
Après son retour d'un séjour à l'étranger, l'intéressé a continué à consulter des patients et a même réalisé deux actes opératoires, sans que le délégué provincial du ministère de la Santé ne l'ait avisé sur les règles et le protocole précis qu'il devait suivre, indique dimanche un communiqué du ministère de la Santé.
Les deux enquêtes ont révélé un manquement aux règles déontologiques et éthiques du médecin en mettant la vie d'autrui en danger, usurpation de qualification, sachant qu'il s'agit d'un médecin généraliste et non d'un gynéco-obstétricien comme il prétend, manque de responsabilité et négligence du délégué provincial et fausse information, selon la même source.
Devant ces faits, poursuit le ministère, il a été décidé la fermeture de la clinique et du cabinet médical en question avec poursuite judiciaire et administrative, de prendre des mesures correctives à l'encontre du délégué provincial de la santé et la poursuite de l'enquête judiciaire.