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Dans l’espace, l’équipage d’une navette spatiale, de retour vers la Terre après des années de mission et que personne n’a informé de la catastrophe qui a rendu la planète inhabitable. Sur Terre, seul à rester dans une base scientifique polaire désertée, un scientifique, George Clooney. Le vieux sage tente de prendre contact avec les survivants et de sauver ce qui peut l’être. Le film se veut quelque part entre “The Revenant”, odyssée de survie et de vengeance dans l’Ouest américain, d’Alejandro González Iñárritu, et “Gravity”, d’Alfonso Cuarón, avec Clooney, qui avait renouvelé la façon de filmer l’apesanteur. Le tournage des scènes polaires, en Islande, au milieu des tempêtes de neige, a été rude. Le vaisseau spatial, lui, a été reconstitué en studio.
A 59 ans, quinze ans après “Good Night and Good Luck”, film en noir et blanc sur la fin du maccarthysme, le réalisateur connu pour ses engagements humanitaires au Darfour aux côtés de son épouse, l’avocate Amal Clooney, brosse un futur très sombre pour l’humanité. “Au début, lorsque nous parlions de ce film, c’était à propos de ce que l’homme peut infliger à l’homme et à l’humanité. La colère, la haine et tout (...) ce qui pourrait d’une façon ou d’une autre nous conduire à tout gâcher, dans les grandes largeurs”, a-t-il expliqué en conférence de presse. Mais “après le tournage, est arrivée la pandémie”, a-t-il poursuivi.