Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Pas de peau, ou plutôt, plus de peaux pour Phil Collins. Et, sans vouloir en faire des caisses, c’est une perte sur le plan musical: le chanteur de Genesis doit arrêter la batterie, pour raisons de santé. Annonce qui mériterait d’être soulignée par un lugubre roulement de tambour.
Comme en atteste, si besoin en est, la vidéo que Gala.fr vous propose, Phil Collins est avant tout un musicien. Et un bon, en ce qui concerne la batterie, au moins. Instrument qui rythme son existence depuis l’âge de 8 ans et que Phil Collins doit se résoudre à abandonner aujourd’hui. Parce que son corps ne suit plus. Et ses mains, en particulier. Et pourtant, Phil Collins n’a même pas encore atteint la soixantaine.
“Je ne peux plus jouer de la batterie”, expliquait ainsi Phil Collins dans une interview au journal allemand Hamburger Abendblatt, revenant sur des ennuis de colonne vertébrale, à l’origine d’un handicap au niveau des doigts. Des problèmes eux-mêmes provoqués par une mauvaise position lorsqu’il est assis derrière ses fûts qui lui a d’abord valu de grosses douleurs au niveau du cou. Ce qui a été particulièrement le cas durant la tournée de Genesis en 2007... D’où une opération du chanteur-batteur en avril dernier mais dont les suites opératoires se sont avérées lourdes. Verdict: perte de la sensibilité dans les doigts. Mais Phil Collins n’est pas du genre à pleurnicher sur son sort et a même imaginé une solution aussi extrême que farfelue à son mal, comme le rapporte Le Parisien: “coller les baguettes à ses doigts”.
Comme en atteste, si besoin en est, la vidéo que Gala.fr vous propose, Phil Collins est avant tout un musicien. Et un bon, en ce qui concerne la batterie, au moins. Instrument qui rythme son existence depuis l’âge de 8 ans et que Phil Collins doit se résoudre à abandonner aujourd’hui. Parce que son corps ne suit plus. Et ses mains, en particulier. Et pourtant, Phil Collins n’a même pas encore atteint la soixantaine.
“Je ne peux plus jouer de la batterie”, expliquait ainsi Phil Collins dans une interview au journal allemand Hamburger Abendblatt, revenant sur des ennuis de colonne vertébrale, à l’origine d’un handicap au niveau des doigts. Des problèmes eux-mêmes provoqués par une mauvaise position lorsqu’il est assis derrière ses fûts qui lui a d’abord valu de grosses douleurs au niveau du cou. Ce qui a été particulièrement le cas durant la tournée de Genesis en 2007... D’où une opération du chanteur-batteur en avril dernier mais dont les suites opératoires se sont avérées lourdes. Verdict: perte de la sensibilité dans les doigts. Mais Phil Collins n’est pas du genre à pleurnicher sur son sort et a même imaginé une solution aussi extrême que farfelue à son mal, comme le rapporte Le Parisien: “coller les baguettes à ses doigts”.