
D’aucuns en s’y inspirant et à juste titre, en ont même vu, les rêves de ‘’Podemos’’ en Espagne, un mouvement de contestation populaire fraîchement reconverti en parti, en train de se métamorphoser en réalité et lui emboîter le pas. L’espoir demeure donc et même plus, puisque le cri de sursaut populaire de ces exclus des nouveaux temps a eu un écho retentissant en un autre ‘’Juntos Podemos’’ chez le voisin lusitanien.
Comme dirait la chanson de celui qui voulait planter un oranger, il a fleuri et donné les fruits sucrés de la liberté. C’est qu’il a fait tache d’huile et est en train de se répandre au Portugal où selon de récentes statistiques officielles, la pauvreté touche près d'un Portugais sur cinq.
Mais avant de chanter : « Il est venu le temps des Syriza », en la demeure de nombreux périls demeurent cependant. Ils sont d’ordre politique, économico-financier et social. Tous, sans exception, ont un dénominateur commun, la colossale dette. Sans compromis avec Angela Merkel & Co, cela aura un morbide retour de manivelle et alors là… Adieu veau, vache, cochon, couvée.