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Selon les militants associatifs de la ville qui se sont mobilisés, l’accouchement a duré plus d’une heure dans des conditions inhumaines. Et d’ajouter que «la vie de la mère et du bébé étaient menacées. L’intervention de certaines femmes averties a évité le drame. D’autant que les responsables de l’hôpital ne sont même pas intervenus pour prodiguer les soins élémentaires à la mère et au bébé après l’accouchement. Et pourtant ils étaient sollicités d’offrir le strict minimum à la mère transportée chez elle dans un état critique».
Cet incident a provoqué la grogne des habitants qui ont manifesté devant le centre hospitalier. Selon un acteur associatif, plusieurs requêtes ont été adressées, le jour même, aux responsables de la Santé et aux autorités compétentes pour dénoncer la non assistance à cette mère et à son bébé né dans la rue pendant que les infirmières et les sages-femmes assistaient au mariage de leur collègue». Au moment où nous mettions sous presse, nous avons appris que la maman a été transportée d’urgence dans la voiture du père à une clinique hors de la ville de Tahla.

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