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La 12ème édition du Festival "Karama" des films sur les droits de l'Homme (Karama Human Rights Film Festival) s'est ouverte, dimanche soir à Amman, avec la participation de plus de 50 films de pays étrangers et arabes, dont des œuvres marocaines.
La cérémonie d'ouverture du Festival, organisé sous le thème "Les droits de l'Homme dans un monde virtuel", a été marquée par la tenue d'une exposition intitulée "La conscience de l'art", et la projection du long métrage "Amira" (Princesse), une œuvre cinématographique jordano-égypto-palestinienne réalisée par l’Égyptien Mohamed Diab et qui représente officiellement la Jordanie dans les nominations aux Oscars du meilleur film étranger.
Le Maroc est représenté dans cet événement, qui se poursuivra jusqu'au 12 décembre, par le film "Melodia Al Morphine" de son réalisateur Hicham Amal, qui est en compétition pour le Prix du meilleur long métrage et celui du meilleur film arabe. Le choix du thème "Les Droits de l'Homme dans un monde virtuel" vise à poser des questionnements sur les actuelles mutations ayant "impacté" le monde en raison de la Covid-19, et les efforts des sociétés et gouvernements pour endiguer cette pandémie et préserver la race humaine et les civilisations sur cette planète, indiquent les organisateurs.
Selon le directeur artistique du Festival, le réalisateur Ihab Al-Khatib, cet événement soulève un certain nombre de questions, tout en laissant au cinéma le droit d'y répondre ou d'en discuter à la lumière de l'accélération des formes humaines virtuelles de communication, et la capture de celles-ci de l'esprit et de la conscience de l'humanité d'aujourd'hui.
Les films prenant part à cette édition, qui représente 28 pays à travers le monde, concourront pour cinq prix, à savoir le meilleur long métrage, le meilleur long métrage documentaire, le meilleur film d'animation, le meilleur court métrage narratif et le meilleur film arabe.
Le programme du Festival comprend des expositions cinématographiques, des séminaires, des ateliers portant sur les questions humanitaires et celles liées au 7è art, ainsi que des performances musicales.
La cérémonie d'ouverture du Festival, organisé sous le thème "Les droits de l'Homme dans un monde virtuel", a été marquée par la tenue d'une exposition intitulée "La conscience de l'art", et la projection du long métrage "Amira" (Princesse), une œuvre cinématographique jordano-égypto-palestinienne réalisée par l’Égyptien Mohamed Diab et qui représente officiellement la Jordanie dans les nominations aux Oscars du meilleur film étranger.
Le Maroc est représenté dans cet événement, qui se poursuivra jusqu'au 12 décembre, par le film "Melodia Al Morphine" de son réalisateur Hicham Amal, qui est en compétition pour le Prix du meilleur long métrage et celui du meilleur film arabe. Le choix du thème "Les Droits de l'Homme dans un monde virtuel" vise à poser des questionnements sur les actuelles mutations ayant "impacté" le monde en raison de la Covid-19, et les efforts des sociétés et gouvernements pour endiguer cette pandémie et préserver la race humaine et les civilisations sur cette planète, indiquent les organisateurs.
Selon le directeur artistique du Festival, le réalisateur Ihab Al-Khatib, cet événement soulève un certain nombre de questions, tout en laissant au cinéma le droit d'y répondre ou d'en discuter à la lumière de l'accélération des formes humaines virtuelles de communication, et la capture de celles-ci de l'esprit et de la conscience de l'humanité d'aujourd'hui.
Les films prenant part à cette édition, qui représente 28 pays à travers le monde, concourront pour cinq prix, à savoir le meilleur long métrage, le meilleur long métrage documentaire, le meilleur film d'animation, le meilleur court métrage narratif et le meilleur film arabe.
Le programme du Festival comprend des expositions cinématographiques, des séminaires, des ateliers portant sur les questions humanitaires et celles liées au 7è art, ainsi que des performances musicales.