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En vertu de l'accord, le HCEFLCD s'engage à proposer des projets adaptés aux critères d'éligibilité et au budget mis à disposition par le CAM et à assurer le suivi de la mise en œuvre des projets, tout en tenant le CAM régulièrement informé de leurs états d'avancement, outre l'évaluation des résultats des projets mis en œuvre.
De son côté, le CAM s'engage notamment à proposer des projets ou en sélectionner parmi les propositions du HCEFLCD, contribuer au financement de ces projets, suivre leur réalisation et étudier les rapports finaux à travers l'évaluation de l'atteinte des objectifs conformément aux indicateurs retenus.
Dans une déclaration à la MAP, M. Lhafi a souligné que cette convention ambitionne d'appuyer les politiques de protection de l'environnement, à travers la réalisation de projets sectoriels se basant sur la préservation des écosystèmes, faisant état des résultats positifs obtenus à l'issue de projets de plantation d'arbres et de préservation des terrains.
Le Haut-commissaire a, aussi, mis l'accent sur la nécessité de s'ouvrir sur la société civile, y compris les associations et les coopératives, et d'inciter les entreprises à adhérer aux efforts de protection des ressources naturelles nationales et de création d'un développement environnemental et social en faveur de la population des zones forestières.
Pour sa part, la directrice de financement et de développement durable au CAM, Meriem Dakhil, a relevé l'importance de cette convention dans la mesure où elle va permettre le financement de bon nombre de projets au niveau de la forêt de Maâmora et des forêts du Moyen atlas dans la région d'Ifrane, d'une enveloppe budgétaire initiale se situant entre 200.000 et 300.000 dirhams.
Le CAM a, par ailleurs, mis en place le concept de "carte verte" pour le financement des projets, qui permet de collecter une partie des commissions générées par l'utilisation des cartes monétiques.