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Le Festival de "Karan", dont la première édition démarre le 19 août à Oujda, s'est lancé le défi de préparer le plus grand plat de "Karan" au monde.
Considéré comme l'un des mets typiques les plus populaires de la région de l'Oriental, "Karan", à base de farine de pois chiche et d'œufs, est facile à préparer. Riche et savoureux, le sandwich "Karan" est à la portée de toutes les bourses. Vendu selon la portion, il est proposé à partir d'un dirham, rappelle la MAP.
La valorisation de ce plat célèbre de l'Oriental, vise essentiellement à inscrire Oujda parmi les cités mondiales qui font la promotion de leur image touristique en faisant connaître leur héritage au niveau mondial, a déclaré à la MAP le dicteur du festival, Mohamed Boughoufala.
De même, le festival veut "documenter" cet héritage gastronomique et culturel, face à l'absence de références retraçant les origines de ce plat et les phases de son évolution historique, a-t-il ajouté.
Organisé par l'Association Lionceaux du Maroc, le festival dont les activités s'étaleront sur trois jours, propose un programme culturel et artistique riche et varié, combinant musique, arts de rue dont la "halka" et arts plastiques. Malgré la concurrence de la restauration rapide et le changement des habitudes alimentaires de la population de l'Oriental, "Karan", considéré comme le repas le moins cher au monde, demeure l'un des mets les plus appréciés et consommés dans la région.
Considéré comme l'un des mets typiques les plus populaires de la région de l'Oriental, "Karan", à base de farine de pois chiche et d'œufs, est facile à préparer. Riche et savoureux, le sandwich "Karan" est à la portée de toutes les bourses. Vendu selon la portion, il est proposé à partir d'un dirham, rappelle la MAP.
La valorisation de ce plat célèbre de l'Oriental, vise essentiellement à inscrire Oujda parmi les cités mondiales qui font la promotion de leur image touristique en faisant connaître leur héritage au niveau mondial, a déclaré à la MAP le dicteur du festival, Mohamed Boughoufala.
De même, le festival veut "documenter" cet héritage gastronomique et culturel, face à l'absence de références retraçant les origines de ce plat et les phases de son évolution historique, a-t-il ajouté.
Organisé par l'Association Lionceaux du Maroc, le festival dont les activités s'étaleront sur trois jours, propose un programme culturel et artistique riche et varié, combinant musique, arts de rue dont la "halka" et arts plastiques. Malgré la concurrence de la restauration rapide et le changement des habitudes alimentaires de la population de l'Oriental, "Karan", considéré comme le repas le moins cher au monde, demeure l'un des mets les plus appréciés et consommés dans la région.
