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Avec ses lunettes rondes et sa tenue baroque, le sosie officiel du célèbre chanteur sud-coréen a mis le public en transe avec les différents tubes qu’il a interprétés comme les fameux "Gentleman" et "Gangnam style", tout en restant fidèle à la mélodie électro et la chorégraphie étonnante du fameux chanteur. Dans une déclaration à la presse peu avant son concert, Psy Cover s’est dit heureux d’être au Maroc et en particulier à Oujda. "C'est toujours un grand plaisir de venir à la rencontre d’un beau public", a-t-il dit. Par ailleurs, si le point d’orgue de cette soirée était le concert de Psy Cover, en tête d’affiche, l’artiste l’ayant précédé sur scène n’a pas démérité.
En vue de perpétuer la tradition du Festival d'encourager les jeunes talents, cette soirée a été l'occasion au chanteur du Raï de la nouvelle génération, Aymane Serhani de se produire en première partie du spectacle.
Il a ainsi charmé les inconditionnels du Raï, qui ont vibré en entonnant en chœur avec lui les chansons qu’il a interprétées, puisées dans la pure tradition Raï et Raggada, notamment les tubes, "Daretli Chantage", "Habaltini nti" et "Cortège", outre la reprise de la chanson de Cheb Hasni, "Zin Jay Men l'Allemagne".
Âgé de 24 ans, le jeune artiste résidant en Belgique, a souligné que c’est la première fois qu’il se produit lors d’un festival, notant que c’est un grand honneur et une fierté de jouer dans sa ville natale Oujda qui se distingue par un public chaleureux et accueillant.