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Pour Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU, le passage aux sept milliards n'était pas à prendre à la légère. «Ce n'est pas une simple affaire de chiffre. C'est une histoire humaine », a-t-il déclaré dans une école new-yorkaise la semaine dernière. Et d’ajouter : «Toutes ces personnes réclament des droits la liberté d’expression et celle de pouvoir élever leurs enfants en paix et en sécurité.»
Signalons que dans les pays les plus pauvres, les gouvernements vont être confrontés à la difficulté de trouver un emploi à l'armada de jeunes qui arriveront sur le marché du travail. Sans compter le réchauffement climatique, la sécheresse et l'explosion incontrôlée des mégapoles, note l'UNFPA.
Notons par ailleurs que deux-tiers environ des naissances ne sont pas enregistrées dans certains pays d'Afrique, a déclaré lundi une ONG spécialisée sur l'enfance, au moment où le monde marque la naissance symbolique du sept milliardième habitant de la planète. Selon l'ONG, le Libéria n'enregistre que 16% des naissances et le Niger 32%.Elle souligne que la naissance des enfants doit être enregistrée dans cette région du monde où la population double tous les 20 ans et qui n'arrive pas à suivre en termes d'écoles, cliniques et logements. «Beaucoup d'enfants sont privés d'accès à l'éducation et sans certificat de naissance, ils sont quasi invisibles, sans accès possible à leurs droits fondamentaux », dit le texte publié au moment où le dernier rapport des Nations unies sur la population mondiale prévoit que le nombre d'Africains va plus que tripler au XXIème siècle.