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Des centaines de membres présumés du groupe jihadiste nigérian Boko Haram devaient comparaître lundi devant un tribunal installé dans une base militaire du centre du Nigeria, pour déterminer s'ils seront condamnés, innocentés ou envoyés dans des centres de réhabilitation.
Lors de la première audience, en octobre, 1.669 personnes s'étaient présentées à la barre, à Kainji, une ville reculée de l'Etat du Niger (centre-ouest).
Le ministère nigérian de la Justice avait annoncé la libération de 468 suspects. Un total de 45 avaient été condamnés à des peines allant de deux à 15 ans de prison et 28 cas avaient été renvoyés dans d'autres juridictions.
Un groupe de 82 d'entre eux avaient plaidé coupable en échange d'un assouplissement de peine, cratains étant relâchés après des années déjà passées en détention.
Découverte
L'aéroport de Londres-City, le plus proche du centre de la capitale britannique, était fermé lundi à la suite de la découverte d'une bombe d'une demi-tonne datant de la Seconde Guerre mondiale.
Tous les vols ont été annulés, affectant 16.000 passagers, et certains ont été déviés vers d'autres aéroports londoniens.
"L'aéroport reste fermé ce matin après la découverte d'une bombe de la Seconde Guerre mondiale", a déclaré son dirigeant, Robert Sinclair dans un communiqué. "Tous les vols vers et de Londres-City sont annulés lundi et une zone d'exclusion est en place", a-t-il précisé.
Il a invité les voyageurs à contacter leur compagnie aérienne et à éviter de se rendre sur place.
La bombe allemande non explosée a été découverte dimanche vers 05H00 GMT lors de travaux près d'un dock situé à proximité de l'unique piste d'atterrissage, a indiqué la police.












