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Une cache d'armes de l'organisation séparatiste basque Eta a été retrouvée jeudi dans une maison de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) au cours d'une opération de police franco-espagnole, a-t-on appris de sources proches du dossier.
Une femme soupçonnée de collaboration avec l'Eta a été arrêtée par la police judiciaire de Bayonne et la Garde civile espagnole sous l'autorité du parquet antiterroriste de Paris.
Une malle contenant des armes de poing et une autre contenant de la poudre d'aluminium pouvant servir à la fabrication d'explosifs ont été trouvées, selon une source policière.
L'organisation séparatiste basque a annoncé le 20 octobre 2011 qu'elle renonçait définitivement à la lutte armée mais elle a refusé de rendre les armes et de se dissoudre.
Malaisie
Des tombes retrouvées dans des camps de migrants dans une région reculée de la Malaisie, à la frontière avec la Thaïlande, renfermeraient 139 corps, selon Kuala Lumpur, chacun enveloppé d'un linceul blanc comme le veut la coutume musulmane.
Vingt-huit camps, qui semblaient fraîchement abandonnés, viennent d'être mis au jour par les autorités. Début mai, la Thaïlande avait découvert dans le sud du pays cinq camps et 35 corps. C'est cette découverte qui avait décidé Bangkok à sévir contre la traite de migrants, ce qui avait désorganisé les filières. Des milliers de migrants se sont retrouvés abandonnés en mer par leurs passeurs.
La Malaisie, est un aimant pour les migrants, des Rohingyas, minorité musulmane vivant essentiellement en Birmanie qui fuient les persécutions et des Bangladais qui cherchent à échapper à la pauvreté.