-
Focus à Casablanca sur la place des enfants en difficulté dans les politiques régionales
-
Les défis et perspectives du numérique dans le domaine médical en débat à Rabat
-
Usages licites du cannabis. 2.905 autorisations délivrées jusqu’au 23 avril courant
-
Interpellation d'un individu pour atteinte aux systèmes de traitement automatisé des données numériques
-
Un grand pas vers la protection collective
Selon un communiqué rendu public à ce sujet, l’objectif de cette initiative est clair : permettre aux projets marocains et africains de voir le jour par le biais ducrowdfunding (financement participatif) : nouvelles technologies, recherche scientifique, projets touristiques, solidaires, artistiques, entrepreneuriat.
«Nous estimons que les Marocains résidant à l’étranger notamment seront très réceptifs à cette nouvelle alternative. Le lien affectif du pays d’origine joue un rôle important et en connaissance de cause, nous avons toujours cette volonté de favoriser le développement du Maroc», rapportent les fondateurs de cette plateforme.
La conjoncture actuelle ne permet pas à tous d’accéder aux capitaux nécessaires pour le financement via les circuits traditionnels, d’où la nécessité de promouvoir le crowdfunding. Les expériences américaines et européennes sont une preuve de réussite indéniable.
La même source souligne que Atadamone a la volonté de fédérer des communautés autour de projets cohérents. Le crowdfunding permet, en effet, de choisir en toute transparence le projet dans lequel on souhaite investir, en fonction de son potentiel de développement. Le nombre de projets permet d’apporter un réel soutien à l’économie nationale.
Selon le communiqué, Atadamone qui est un outil à même d’accompagner des projets originaux et innovants, entend rayonner sur une grande partie de l’Afrique francophone : Maghreb, Mauritanie, Mali, Sénégal, Cameroun, Guinée-Bissau, Guinée, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Togo, Bénin et Gabon.