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Selon l’écrivain marocain, qui s’exprimait lors d’une conférence organisée sous le thème “Les portes de la culture”, la traduction de la littérature arabe vers les langues étrangères peut rester fidèle au texte original, mais, n’arrive pas à transmettre les spécificités de la littérature arabe et les pensées de l’écrivain arabe au lecteur étranger.
La grande difficulté à laquelle se heurtent les traducteurs réside dans le fait que l’écrivain arabe, lorsqu’il écrit, ne s’adresse pas forcément à un public mondial, à cause, a-t-il expliqué, du défaut d’une réelle dynamique de traduction, mais aspire toujours à faire parvenir sa voix au plus grand nombre possible de lecteurs.
La 38e édition du Salon international du livre de Charjah, organisée jusqu’au 9 novembre par l’Autorité du livre de Charjah sous le slogan “Ouvrir un livre, ouvrir un esprit”, coïncide avec la célébration de Charjah en tant que capitale mondiale du livre en 2019.
Le Salon, dont le Mexique est l’invité d’honneur, accueille des romanciers lauréats du prix Nobel, des cinéastes de renommée mondiale ayant remporté des Oscars, ainsi qu’une pléiade de personnalités arabes et étrangères, qui animent toute une gamme d’événements culturels.
Le Salon prévoit des cérémonies de dédicaces de plus de 250 livres dans les domaines de poésie, du roman, de sciences sociales, de droit, de philosophie, d’études critiques et universitaires, de développement personnel, de théâtre et de livres pour la jeunesse, selon l’Autorité du livre de Charjah.