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«Le Maroc demeure engagé à assumer son rôle national et régional pour contribuer à l’effort de la communauté internationale visant à endiguer ce fléau (criminalité transnationale) et en combattre les auteurs et les commanditaires», a souligné M. Loulichki à l’occasion de la réunion spéciale de haut niveau de l’Assemblée générale de l’ONU sur cette question, relevant qu’ «aucun pays ne peut prétendre pouvoir faire face seul aux menaces conjuguées de la criminalité internationale, du trafic de drogue et du trafic des armes et de la traite des êtres humains».
La coopération «régionale et sous régionale dans la lutte contre ce fléau est dès lors un impératif et un passage obligé pour s’en prémunir», a-t-il affirmé, soulignant que «si les stratégies mises en œuvre, au niveau national, sont essentielles pour réduire le risque de la criminalité transnationale, elles ne peuvent produire leur plein effet en l’absence d’une coopération internationale soutenue et une assistance technique appropriée».
«Seule la conjugaison de ces efforts et la volonté politique qui les sous-tendent sont à même de garantir l’efficacité voulue à l’action internationale dans le domaine de la criminalité internationale», a-t-il insisté.
Il a, en outre, indiqué que «l’étroite corrélation entre la criminalité organisée, le terrorisme, les réseaux de traite des êtres humains et le trafic de drogue, démontre de jour en jour les dangers auxquels la communauté internationale se trouve de plus en plus confrontée et la nécessité pour celle-ci d’y répondre à travers des efforts coordonnés, déterminés et soutenus».
En ce sens, il a relevé que «les réseaux criminels, où qu’ils se trouvent, sont indéniablement une menace pour la paix et la sécurité internationales».
Ces menaces, a poursuivi M. Loulichki, sont « devenues, plus que jamais réelles, complexes, interconnectées et transnationales, surtout au vu de l’ampleur des moyens financiers, logistiques et technologiques susceptibles d’être mobilisés par ces réseaux criminels et mafieux».