Autres articles
-
Omar Zniber examine les moyens de promouvoir les priorités du CDH avec le SG de l'ONU
-
Une réunion co-présidée par le Maroc et l’UE souligne l’engagement continu pour la lutte contre le terrorisme à travers l’éducation
-
Tanger abrite un séminaire sur la décarbonation des flux logistiques Maroc-UE
-
Le chef du gouvernement s’entretient avec le ministre français de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique
-
Clôture à Rabat de la 4ème édition du modèle de simulation du sommet international de l'enfance pour Al-Qods
Le week-end du 15 au 17 mai a connu plusieurs activités à Paris touchant à la question des jeunes compétences marocaines résidant à l’étranger.
C’est ainsi que l’Association des Marocains des Grandes Ecoles a organisé à Paris un colloque intitulé : « Les Journées de la jeunesse marocaine (JJM 2009) ».
L’un des moments importants était une table ronde sur «Le militant de demain» avec la participation de Ali Bouabid, membre du Bureau politique de l’USFP, un membre du Bureau politique de PAM et un député du PJD.
Le Forum Careers in Morocco a reçu le ministre chargé de la Communauté marocaine à l’étranger, Mohamed Ameur.
Ce Forum se positionnant au cœur de l’Europe est dédié aux compétences marocaines installées en Europe.
Il s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de retour des compétences marocaines établies à l’étranger et la volonté de ces dernières de participer activement au développement du Maroc, en créant des plateformes d’échange, de rencontre et de réflexion en vue de former un levier de croissance de l’économie du savoir.
L’objectif du Forum, selon les organisateurs, est d’informer sur les opportunités de carrières au Maroc, d’établir des contacts avec les responsables DRH des entreprises marocaines les plus avancées et d’assister à des présentations d’entreprises, des conférences et des sessions d’information.
Mohamed Ameur, ministre délégué chargé des MRE, a souligné, devant les jeunes compétences, que c’était une initiative opportune, entreprise par des associations et des réseaux de compétences. Cette initiative témoigne de la volonté des compétences marocaines en France et en Europe de participer au développement de leur pays. De nombreuses manifestations de ces compétences marocaines à l’étranger sont organisées en Belgique, en Allemagne ou au Canada et portées par des cabinets comme Carreers Morocco. Ces initiatives sont arrivées au moment opportun et dans un contexte favorable. C’est la convergence de deux dynamiques à l’œuvre, l’une au Maroc et l’autre au sein de la communauté marocaine installée à l’étranger.
Il a ajouté que depuis l’accession au Trône de SM Mohammed VI, le Maroc est engagé dans une dynamique de réformes, de grands et multiples chantiers économique, social, chantiers sur le développement humain, sur la question de la femme … Par cette dynamique de réforme et du progrès, le Maroc résiste mieux à la crise grâce aux réformes entreprises depuis des années. Il a réussi à construire une économie solide. Aujourd’hui, le Maroc a une vision globale. On ne travaille plus à court terme mais avec une planification stratégique dans tous les domaines comme le tourisme, l’agriculture, entre autres. Le Maroc mène aussi des réformes très complexes et difficiles liées à la justice, l’éducation nationale et l’administration. Cette dynamique positive explique la volonté des compétences de rejoindre le pays. Cette convergence est le fruit du travail de nous tous.
Mohamed Ameur a souligné que les potentialités marocaines installées à l’étranger ne sont plus que de simples salariés comme auparavant, mais sont présentes aujourd’hui dans des domaines stratégiques et multiples avec un savoir-faire de haut niveau. Cette élite reste attachée au pays d’une façon indéfectible. C’est un symbole ; c’est un indicateur de reconnaissance des efforts accomplis et un indicateur d’espoir.
Le ministre a ajouté que cette convergence de deux dynamiques de l’intérieur et de l’extérieur permettait cette relation entre les Marocains installés à l’étranger et leur pays. Il est temps d’inscrire cette initiative des individus et des groupes dans une stratégie nationale pour aller de l’avant, si on veut que le Maroc profite de ses compétences . Il faut changer d’échelle et inscrire dans la durée ces différentes initiatives.
On ne peut espérer une contribution fondamentale, si on n’a pas de connaissances fondamentales sur l’ensemble des compétences. Un travail de recensement et de repérage a été fait.
Dans ce sens, il a dit que le Maroc compte organiser le premier Forum des compétences des résidents marocains en Allemagne en novembre prochain. On espère voir les projets qu’ils proposent et on les aidera à mieux s’organiser .On ne peut pas réussir ce chantier si on ne connaît pas les besoins du Maroc. On va identifier des besoins au niveau national.
Certaines compétences installées en Europe peuvent intervenir tout en restant là où elles sont installées.
S’adressant à l’assistance Mohamed Ameur a souligné que son département va partager avec ces compétences les résultats des études et de réflexion sur leur modalité de mise en œuvre. C’est dans ce cadre qu’on a repris l’initiative de FINCOM, qui est un outil au service de la politique du royaume. A l’occasion de l’étude menée, on lancera de nouveau le FINCOM avec les moyens techniques et financiers nécessaires.
Selon le ministre, cette dynamique est devenue plus que nécessaire, car en ces temps de crise internationale, beaucoup de compétences cherchent à regagner leur pays.
Le but de cette étude est d’accompagner les porteurs de projets. Les MRE et leurs projets ont une spécificité ; on les traite donc avec une procédure spécifique. Notre souhait est de mettre en place pour les porteurs de projets un accompagnement avec des outils et des moyens. Il faut optimiser l’impact du projet sur le territoire et faire en sorte que leur région d’origine profite de leur transfert et aussi impliquer les associations dans le développement local.
Le ministre des MRE a affirmé que le 10 août 2009 sera organisé le Forum des associations marocaines à l’étranger qui travaillent dans le domaine du développement pour pérenniser les actions qui ont un impact sur le terrain et pour réfléchir avec eux .
Les centres culturels et les maisons de la culture sont une priorité du gouvernement. Ils seront ouverts aux Marocains et aux étrangers. La culture est au cœur de l’attachement au pays d’origine. Pour les MRE installés d’une façon durable, la culture constitue un facteur de stabilité et d’accompagnement. En plus, c’est un secteur stratégique pour accompagner les jeunes qui ne connaissent pas suffisamment leur pays d’origine.
La communauté marocaine à l’étranger connaît une mutation profonde. Il y a de grandes réussites mais il y a aussi des problèmes sociaux qu’on doit accompagner surtout au niveau des groupes les plus vulnérables. Pour les retraités isolés, les femmes seules, les sans papiers et les prisonniers, on a pris des mesures dans ce sens. On doit donc accompagner l’avenir et établir un projet pour anticiper l’évolution.
C’est ainsi que l’Association des Marocains des Grandes Ecoles a organisé à Paris un colloque intitulé : « Les Journées de la jeunesse marocaine (JJM 2009) ».
L’un des moments importants était une table ronde sur «Le militant de demain» avec la participation de Ali Bouabid, membre du Bureau politique de l’USFP, un membre du Bureau politique de PAM et un député du PJD.
Le Forum Careers in Morocco a reçu le ministre chargé de la Communauté marocaine à l’étranger, Mohamed Ameur.
Ce Forum se positionnant au cœur de l’Europe est dédié aux compétences marocaines installées en Europe.
Il s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de retour des compétences marocaines établies à l’étranger et la volonté de ces dernières de participer activement au développement du Maroc, en créant des plateformes d’échange, de rencontre et de réflexion en vue de former un levier de croissance de l’économie du savoir.
L’objectif du Forum, selon les organisateurs, est d’informer sur les opportunités de carrières au Maroc, d’établir des contacts avec les responsables DRH des entreprises marocaines les plus avancées et d’assister à des présentations d’entreprises, des conférences et des sessions d’information.
Mohamed Ameur, ministre délégué chargé des MRE, a souligné, devant les jeunes compétences, que c’était une initiative opportune, entreprise par des associations et des réseaux de compétences. Cette initiative témoigne de la volonté des compétences marocaines en France et en Europe de participer au développement de leur pays. De nombreuses manifestations de ces compétences marocaines à l’étranger sont organisées en Belgique, en Allemagne ou au Canada et portées par des cabinets comme Carreers Morocco. Ces initiatives sont arrivées au moment opportun et dans un contexte favorable. C’est la convergence de deux dynamiques à l’œuvre, l’une au Maroc et l’autre au sein de la communauté marocaine installée à l’étranger.
Il a ajouté que depuis l’accession au Trône de SM Mohammed VI, le Maroc est engagé dans une dynamique de réformes, de grands et multiples chantiers économique, social, chantiers sur le développement humain, sur la question de la femme … Par cette dynamique de réforme et du progrès, le Maroc résiste mieux à la crise grâce aux réformes entreprises depuis des années. Il a réussi à construire une économie solide. Aujourd’hui, le Maroc a une vision globale. On ne travaille plus à court terme mais avec une planification stratégique dans tous les domaines comme le tourisme, l’agriculture, entre autres. Le Maroc mène aussi des réformes très complexes et difficiles liées à la justice, l’éducation nationale et l’administration. Cette dynamique positive explique la volonté des compétences de rejoindre le pays. Cette convergence est le fruit du travail de nous tous.
Mohamed Ameur a souligné que les potentialités marocaines installées à l’étranger ne sont plus que de simples salariés comme auparavant, mais sont présentes aujourd’hui dans des domaines stratégiques et multiples avec un savoir-faire de haut niveau. Cette élite reste attachée au pays d’une façon indéfectible. C’est un symbole ; c’est un indicateur de reconnaissance des efforts accomplis et un indicateur d’espoir.
Le ministre a ajouté que cette convergence de deux dynamiques de l’intérieur et de l’extérieur permettait cette relation entre les Marocains installés à l’étranger et leur pays. Il est temps d’inscrire cette initiative des individus et des groupes dans une stratégie nationale pour aller de l’avant, si on veut que le Maroc profite de ses compétences . Il faut changer d’échelle et inscrire dans la durée ces différentes initiatives.
On ne peut espérer une contribution fondamentale, si on n’a pas de connaissances fondamentales sur l’ensemble des compétences. Un travail de recensement et de repérage a été fait.
Dans ce sens, il a dit que le Maroc compte organiser le premier Forum des compétences des résidents marocains en Allemagne en novembre prochain. On espère voir les projets qu’ils proposent et on les aidera à mieux s’organiser .On ne peut pas réussir ce chantier si on ne connaît pas les besoins du Maroc. On va identifier des besoins au niveau national.
Certaines compétences installées en Europe peuvent intervenir tout en restant là où elles sont installées.
S’adressant à l’assistance Mohamed Ameur a souligné que son département va partager avec ces compétences les résultats des études et de réflexion sur leur modalité de mise en œuvre. C’est dans ce cadre qu’on a repris l’initiative de FINCOM, qui est un outil au service de la politique du royaume. A l’occasion de l’étude menée, on lancera de nouveau le FINCOM avec les moyens techniques et financiers nécessaires.
Selon le ministre, cette dynamique est devenue plus que nécessaire, car en ces temps de crise internationale, beaucoup de compétences cherchent à regagner leur pays.
Le but de cette étude est d’accompagner les porteurs de projets. Les MRE et leurs projets ont une spécificité ; on les traite donc avec une procédure spécifique. Notre souhait est de mettre en place pour les porteurs de projets un accompagnement avec des outils et des moyens. Il faut optimiser l’impact du projet sur le territoire et faire en sorte que leur région d’origine profite de leur transfert et aussi impliquer les associations dans le développement local.
Le ministre des MRE a affirmé que le 10 août 2009 sera organisé le Forum des associations marocaines à l’étranger qui travaillent dans le domaine du développement pour pérenniser les actions qui ont un impact sur le terrain et pour réfléchir avec eux .
Les centres culturels et les maisons de la culture sont une priorité du gouvernement. Ils seront ouverts aux Marocains et aux étrangers. La culture est au cœur de l’attachement au pays d’origine. Pour les MRE installés d’une façon durable, la culture constitue un facteur de stabilité et d’accompagnement. En plus, c’est un secteur stratégique pour accompagner les jeunes qui ne connaissent pas suffisamment leur pays d’origine.
La communauté marocaine à l’étranger connaît une mutation profonde. Il y a de grandes réussites mais il y a aussi des problèmes sociaux qu’on doit accompagner surtout au niveau des groupes les plus vulnérables. Pour les retraités isolés, les femmes seules, les sans papiers et les prisonniers, on a pris des mesures dans ce sens. On doit donc accompagner l’avenir et établir un projet pour anticiper l’évolution.
